New-York

Il se relit a rire et cria:

"Qu'on le mette au fer, ah, ah,.... Bon d'abord je ne suis pas votre ami, alors pour vous se seras "Vous" ou "Monsieur". Ensuite je me nomme Richard Mac'Calister, 7° du nom...... Sa vous va?

Bates avait réussi à obtenir queque chose de cette entité informe.

"Monsieur voudrait que je le vouvoie et bien alors monsier le clodo va commencer par me dire qu'est ce qu'il fou dans un autre pays que le sien vivant dans un squat et sans passeport l'autorisant à circuler sur le territoire américain.

Il monta d'un ton pour terminer sa phrase

"Alors pour tout ça, monsieur n'est pas plus important qu'une merde quelque soit son nom et je ne vouvoie pas les merdes. T'as compris."

IL le regarda et dit:

"Alors tu voit tu vas me vouvoyez ou je...... Je suis partit de mon pays pour divers raisons, notament un probleme de compréhension avec mes parents. Je suis venue a bords d'un cargo, tout droit venant d'Ecosse, mais sans le sou, je suis devennue SDF....."

Il les regarda et dit:

"Je me suis recement procurer un travail et de l'argent, maintenant j'ai un compte en banque..... Je connais mes droits, je ne suis pas forcer de vous repondre, sans précense de mon avocat et je vous demanderez de le contacté a se numeros, si vous continuez a me tutoyez...."

Il sortit une carte de visite, d'une de ses poches et dit:

"Avocat ou vouvoiment, avocat ou vouvoiment? Je vous deconseillerais les insultes et les coups, pour violence policiere, deplus la claque suffit a se qu'il non lieu. Alors au moindre coup ou insultes, je vous poursuit, vice de procedure et je repart tranquillement, sans que vous ne puissez rien contre moi... Comme vous le voyez je reste ici de mon plein grée etant donné que je peut sortir a tout moment....."

Bates commençait a en avoir assez qu'un SDF se foute de sa gueule mais cela n'allait pas durer.

"Dans ton pays, peut-être que tu as des droits mais ici, tu es un immigré mais depuis 10 ans déjà, les immigrés clandestins sont considéré comme des teroristes potentiels et dans ce cas tu n'a aucun droit. Tu n'as pas droit de garder le silence, tu n'as pas droit d'avoir un avocat et il ne t'en seras pas commis un d'office et enfin tu n'as pas le droit de garder le silence et bien sûr tout ce que tu diras pourra être retenu contre toi devant le tribunal internationnal. Alors maintant que tu as avoué ta clandestinité, la prcédure pout otn transfert à Gunatanamo et là-bas, la torture est autorisée."

Le lieutenant se leva pour quitter la pièce, il demanda à policier de garde de ramener Richard en cellule.

Il se mit a rire a l'eclats et dit:

"J'ai un droit, un pêtit droit, mais un droit, celui de d'etre juger par la justice en vigeur dans mon pays, ainsi je devrait etre reconduis a la Frontiere. Et au pays ou on me jugeras honetement, on l'on seras moin grossier ou j'aurais le droit a etre juger, le droit au silence et accésoirement a un Avocats.Mais je ne vais pas vous quitter, du moin pas encore..."

Il sourit et dit:

"Sa vous chier qu'un mutants s'en sorte, sa vous enerve, la mon petit americain tu voudrais bien degainer ton flingue et m'en coller une...... Mais qu'attend tu? Je suis un muant un SDF, un moin que rien, mais seulement pour vous. Car vous n'etes que de la merde, pas caable de tolléré les etres différents.... Pendant que vous resterez coisser dans vos petites idées de fonctionnaire stupide. Bon, vous aller tranquillement me renvoyer en detention provisoire, le temps que les services de l'Imagration, dont ces du ressort, viennent me cherché. Bon alors mes petites volailles, que diriez vous de vous depechez un peu, j'ai pas tout mon moi....."

Le lieutenant sourit à son tour

"Je suis désolé, espèce de mutos, maintenant que tu l'avoues, mais tu as regardé trop de film du siècle dernier et les lois ont changé depuis. De nos jours, comme je te l'ai dit tout à l'heure, d'après l'article 2604.6, tout immigré clandestin est considéré jusqu'à preuve du contraire comme étant un terroriste passif et tombe alors sous le coup des lois anti-terroristes internationales. Une équipe commandos de l'armée des Etats-Unis vient d'arriver pour te mener jusqu'à Guantanamo. Je suis content de me débarasser de toi."

Dès que le lieutenant fut sorti de la pièce un groupe de miltaire entra dans la pièce et injecta sur le champ un puissant sédatif au SDF qui tomba inanimé.

New York Camp du Labrador