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- Georgia BeccariaX-Rays
- Age : 32
Nom de code : Miracle Lass
Date d'inscription : 22/08/2007
Re: Par une belle journée de septembre
Mar 23 Oct 2007 - 1:07
Georgia entendit la réponse de Iacobo sans ciller. De la provoc' et encore de la provoc'.... Tous les grands poncifs du genre y passaient, de la pseudo-analyse psychologique à la critique physique en règle façon publicité comparatiste sans oublier un descriptif des atavismes familiaux prétendus de la famille Beccaria. En somme, rien de bien intéressant et rien, bien sur, qui méritait la moindre réponse...
Iacobo jouait la provocation et devait s'attendre (avec joie certainement) à une montée dans le ton de la répartie. Peut être des insultes. Peut être des coups. Peu importait à vrai dire, Georgia l'écoutait à peine...
Le duel avec Super Nana montait en puissance en revanche. Elle ne s'était pas du tout attendue à une telle réaction de sa part. C'était relativement destabilisant.
Georgia effaça progressivement de ses pensées tout ce qui l'entourait. La cuisine. Les pancakes. Les gamins de l'institut. Iacobo.
Elle lança à ce dernier un simple :
"C'est cool"
Histoire de marquer le fait qu'elle avait bien entendu ses gesticulations et qu'elle ne comptait y répondre que par une simple fin de non recevoir.
"Si tu veux" ajouta t'elle sans même le regarder. Sans même ciller. Sans même détacher son regard de celui de la blonde sculpturale...
Elle observait le visage de celle-ci. Il y avait là un bel effet miroir. Face à ce visage, Georgia se sentit mise en question, destituée, violentée...
Les paroles de la blonde avaient été celles d'une entomologiste. Scientifiques. Le résultat d'une simple observation.
Ces quelques mots ajoutés au regard de celle-ci plongèrent la jeune italo-américaine au fond de ses pensées les plus profondes. Entrainèrent en elle, une introspection compléte.
Après tout, à quoi avait elle pensée en observant la jeune femme puis en l'abordant d'une manière aussi étrange ? Voulait elle faire oeuvre de sociabilisation ? Ou témoignait elle d'une inclination quelconque ?
Peu importait, le questionnement serait pour plus tard, pour l'heure il s'agissait de répondre...
Mais comment peut on répondre à ça ? Les mots étaient triviaux, à la limite du calembour. Mais le ton était sérieux, descriptif. La blonde avait posé une question par ses paroles. La réponse se faisait attendre.
Elle pouvait nier bien entendu. Mais comment ? de quel droit ? dans quel but ?
Elle pouvait aussi s'indigner. Solution facile correspondant inéluctablement à une défaite de sa part. Car il s'agissait ici bel et bien d'un duel au soleil façon western. La perdante serait reconduite en dehors de la ville. Car elle n'était pas assez grande pour nous deux... L'indignation, la violence verbale, le repli, la quête de secours, c'était autant de façon d'écrire le mot flancher... Et à ce jeu qui était le sien, Georgia n'avait pas envie de lacher sans se battre.
Mais étais ce bien une confrontation ? Ou plutôt quel pouvait être le moyen d'y mettre fin sur un mode non conflictuel ?
Georgia pouvait également revendiquer les paroles de la blonde, comme pour les retourner contre elle. Subvertir, déconstruire la norme en se l'appropriant comme un étendart. C'est ce qu'elle avait fait dans le quartier quand sa condition de mutante fut révélée au grand jour... Mais au fond d'elle même, Georgia ne savait rien.
Elle devait faire un aveu à la blonde mais elle ne savait rien. Elle ne savait pas que dire. Elle savait juste qu'elle ne savait pas. Ni pourquoi elle était venue lui parler. Ni si elle présentait une telle inclination. Elle choisit donc la voie de la franchise.
"Je ne sais pas en fait ce que je préfère. Je préférerait ne pas te répondre en fait."
Le motif Melvillien du "I prefer not to" convenait bien à la situation. L'aveu était un aveu en négatif. Un seul doute était écarté, c'était celui de l'absence de certitude. Georgia n'avait FICHTREMENT aucune réponse à donner aux paroles de la blonde.
Puis se recoiffant une petite méche de cheveux qui venait de lui tomber sur le front, elle ajouta avec un petit sourire en coin :
"Bon alors c'est quoi ton prénom ?"
Iacobo jouait la provocation et devait s'attendre (avec joie certainement) à une montée dans le ton de la répartie. Peut être des insultes. Peut être des coups. Peu importait à vrai dire, Georgia l'écoutait à peine...
Le duel avec Super Nana montait en puissance en revanche. Elle ne s'était pas du tout attendue à une telle réaction de sa part. C'était relativement destabilisant.
Georgia effaça progressivement de ses pensées tout ce qui l'entourait. La cuisine. Les pancakes. Les gamins de l'institut. Iacobo.
Elle lança à ce dernier un simple :
"C'est cool"
Histoire de marquer le fait qu'elle avait bien entendu ses gesticulations et qu'elle ne comptait y répondre que par une simple fin de non recevoir.
"Si tu veux" ajouta t'elle sans même le regarder. Sans même ciller. Sans même détacher son regard de celui de la blonde sculpturale...
Elle observait le visage de celle-ci. Il y avait là un bel effet miroir. Face à ce visage, Georgia se sentit mise en question, destituée, violentée...
Les paroles de la blonde avaient été celles d'une entomologiste. Scientifiques. Le résultat d'une simple observation.
Ces quelques mots ajoutés au regard de celle-ci plongèrent la jeune italo-américaine au fond de ses pensées les plus profondes. Entrainèrent en elle, une introspection compléte.
Après tout, à quoi avait elle pensée en observant la jeune femme puis en l'abordant d'une manière aussi étrange ? Voulait elle faire oeuvre de sociabilisation ? Ou témoignait elle d'une inclination quelconque ?
Peu importait, le questionnement serait pour plus tard, pour l'heure il s'agissait de répondre...
Mais comment peut on répondre à ça ? Les mots étaient triviaux, à la limite du calembour. Mais le ton était sérieux, descriptif. La blonde avait posé une question par ses paroles. La réponse se faisait attendre.
Elle pouvait nier bien entendu. Mais comment ? de quel droit ? dans quel but ?
Elle pouvait aussi s'indigner. Solution facile correspondant inéluctablement à une défaite de sa part. Car il s'agissait ici bel et bien d'un duel au soleil façon western. La perdante serait reconduite en dehors de la ville. Car elle n'était pas assez grande pour nous deux... L'indignation, la violence verbale, le repli, la quête de secours, c'était autant de façon d'écrire le mot flancher... Et à ce jeu qui était le sien, Georgia n'avait pas envie de lacher sans se battre.
Mais étais ce bien une confrontation ? Ou plutôt quel pouvait être le moyen d'y mettre fin sur un mode non conflictuel ?
Georgia pouvait également revendiquer les paroles de la blonde, comme pour les retourner contre elle. Subvertir, déconstruire la norme en se l'appropriant comme un étendart. C'est ce qu'elle avait fait dans le quartier quand sa condition de mutante fut révélée au grand jour... Mais au fond d'elle même, Georgia ne savait rien.
Elle devait faire un aveu à la blonde mais elle ne savait rien. Elle ne savait pas que dire. Elle savait juste qu'elle ne savait pas. Ni pourquoi elle était venue lui parler. Ni si elle présentait une telle inclination. Elle choisit donc la voie de la franchise.
"Je ne sais pas en fait ce que je préfère. Je préférerait ne pas te répondre en fait."
Le motif Melvillien du "I prefer not to" convenait bien à la situation. L'aveu était un aveu en négatif. Un seul doute était écarté, c'était celui de l'absence de certitude. Georgia n'avait FICHTREMENT aucune réponse à donner aux paroles de la blonde.
Puis se recoiffant une petite méche de cheveux qui venait de lui tomber sur le front, elle ajouta avec un petit sourire en coin :
"Bon alors c'est quoi ton prénom ?"
- Abaigh Mc CullohLeX
- Age : 32
Equipe : OryX
Nom de code : Fíaìn
Date d'inscription : 08/07/2007
Re: Par une belle journée de septembre
Mar 23 Oct 2007 - 12:57
(Squatteuse en vue ^^)
Chambre d'Anna et Abaigh
Bon, d'accord : rester ainsi enfermée dans la chambre n'était pas la meilleure manière de faire des connaissances et mieux, de se faire des amis. Depuis son arrivée, Abaigh n'avait pas vraiment participé à la vie de l'Institut, préférant la solitude. Pourquoi? Le mal du pays, tout simplement. L'Irlande lui manquait à un point qu'elle-même n'aurait jamais pu imaginer. Le fait qu'il y ait dans cet Institut des compatriotes ne changeait rien à la situation.
Mais elle avait décidé de se mettre un petit coup de pied aux fesses. Rester enfermée n'allait en rien arranger les choses alors... Alors, elle avait prit son courage à deux mains et était sorti de la chambre pour se ballader dans les couloirs de l'Institut. C'est la soif qui la mena rapidement jusqu'à la cuisine.
Lorsqu'elle entra, elle s'arrêta net sur le seuil : c'est qu'il y avait du monde. Espérait-elle qu'il n'y aurait personne d'autre qu'elle? Hum... Sans doute oui. Sortir de la chambre était une chose ; se retrouver entourée de monde en était une autre. Mais bon, elle n'allait pas faire demi-tour. De quoi aurait-elle l'air si après s'être arrêté net sur le seuil elle faisait demi-tour et s'enfuyait à toutes jambes? D'une folle, c'est certain.
Elle tenta alors -nous parlons de tentative car ce fut assez laborieux- de sourire aux occupants de la cuisine. Elle était tellement crispée que ce sourire ressembla plus à une grimace qu'autre chose. Ce qui, il faut bien l'avouer, donnait véritablement quelque chose de comique à la situation. Mais bon, ne nous moquons pas d'Abaigh : elle avait déjà fait un effort.
"Bonjour tout le monde..."
Deuxième effort : félicitations Abaigh. Tu as réussi à prononcer quatre mots sans bafouiller.
Et puis la mutante s'avança à l'intérieur d'un pas rapide jusqu'au frigo. Il fut à peine ouvert qu'elle se planqua derrière. Elle cherchait quelque chose à boire, et c'était l'idéal pour se cacher du regard des autres. Mais bon, elle n'allait pas rester éternellement planquée derrière cette porte de frigo -dommage-.
Après quelques instants, elle referma la porte avec en main une simple canette de soda au citron. Ma foi, un peu d'acidité allait peut-être pouvoir lui remettre les idées en place. Elle se retourna et observa à nouveau ceux qui étaient présents. Hésitation, hésitation... Tu repars Abaigh? Tu restes? Oui mais si tu restes, où t'installes-tu?
Elle trouva rapidement la réponse à sa propre question et alla s'installer aux côtés de deux jolies brunes (Camille et Jade : Love Ya). A côté d'elles, Abaigh faisait plus fade mais bon... C'était son droit de teindre ses cheveux en gris non?!
Elle ouvrit sa canette et but quelques gorgées. Elle posa finalement la canette et reporta son regard sur les deux demoiselles. Il lui semblait avoir déjà aperçu Camille mais elle n'était sûre de rien. Par contre, la deuxième, elle ne l'avait pas encore vu.
"Je sais pas si on s'est déjà croisées..."
La mémoire lui faisait parfois défaut.
"Je m'appelle Abaigh..."
Ouh, mais c'est qu'elle essaye de se présenter et de faire la conversation!!!
A nouveau un petit sourire, mais juste pour les deux demoiselles. Et ce sourire là, il était loin d'être crispé, au contraire. Abaigh ne savait ni pourquoi, ni comment, mais ces deux mutantes ne la plongeaient pas dans un état de stress. En leur compagnie et ce, même si elle ne les connaissait pas encore, elle se sentait plus à l'aise.
Chambre d'Anna et Abaigh
Bon, d'accord : rester ainsi enfermée dans la chambre n'était pas la meilleure manière de faire des connaissances et mieux, de se faire des amis. Depuis son arrivée, Abaigh n'avait pas vraiment participé à la vie de l'Institut, préférant la solitude. Pourquoi? Le mal du pays, tout simplement. L'Irlande lui manquait à un point qu'elle-même n'aurait jamais pu imaginer. Le fait qu'il y ait dans cet Institut des compatriotes ne changeait rien à la situation.
Mais elle avait décidé de se mettre un petit coup de pied aux fesses. Rester enfermée n'allait en rien arranger les choses alors... Alors, elle avait prit son courage à deux mains et était sorti de la chambre pour se ballader dans les couloirs de l'Institut. C'est la soif qui la mena rapidement jusqu'à la cuisine.
Lorsqu'elle entra, elle s'arrêta net sur le seuil : c'est qu'il y avait du monde. Espérait-elle qu'il n'y aurait personne d'autre qu'elle? Hum... Sans doute oui. Sortir de la chambre était une chose ; se retrouver entourée de monde en était une autre. Mais bon, elle n'allait pas faire demi-tour. De quoi aurait-elle l'air si après s'être arrêté net sur le seuil elle faisait demi-tour et s'enfuyait à toutes jambes? D'une folle, c'est certain.
Elle tenta alors -nous parlons de tentative car ce fut assez laborieux- de sourire aux occupants de la cuisine. Elle était tellement crispée que ce sourire ressembla plus à une grimace qu'autre chose. Ce qui, il faut bien l'avouer, donnait véritablement quelque chose de comique à la situation. Mais bon, ne nous moquons pas d'Abaigh : elle avait déjà fait un effort.
"Bonjour tout le monde..."
Deuxième effort : félicitations Abaigh. Tu as réussi à prononcer quatre mots sans bafouiller.
Et puis la mutante s'avança à l'intérieur d'un pas rapide jusqu'au frigo. Il fut à peine ouvert qu'elle se planqua derrière. Elle cherchait quelque chose à boire, et c'était l'idéal pour se cacher du regard des autres. Mais bon, elle n'allait pas rester éternellement planquée derrière cette porte de frigo -dommage-.
Après quelques instants, elle referma la porte avec en main une simple canette de soda au citron. Ma foi, un peu d'acidité allait peut-être pouvoir lui remettre les idées en place. Elle se retourna et observa à nouveau ceux qui étaient présents. Hésitation, hésitation... Tu repars Abaigh? Tu restes? Oui mais si tu restes, où t'installes-tu?
Elle trouva rapidement la réponse à sa propre question et alla s'installer aux côtés de deux jolies brunes (Camille et Jade : Love Ya). A côté d'elles, Abaigh faisait plus fade mais bon... C'était son droit de teindre ses cheveux en gris non?!
Elle ouvrit sa canette et but quelques gorgées. Elle posa finalement la canette et reporta son regard sur les deux demoiselles. Il lui semblait avoir déjà aperçu Camille mais elle n'était sûre de rien. Par contre, la deuxième, elle ne l'avait pas encore vu.
"Je sais pas si on s'est déjà croisées..."
La mémoire lui faisait parfois défaut.
"Je m'appelle Abaigh..."
Ouh, mais c'est qu'elle essaye de se présenter et de faire la conversation!!!
A nouveau un petit sourire, mais juste pour les deux demoiselles. Et ce sourire là, il était loin d'être crispé, au contraire. Abaigh ne savait ni pourquoi, ni comment, mais ces deux mutantes ne la plongeaient pas dans un état de stress. En leur compagnie et ce, même si elle ne les connaissait pas encore, elle se sentait plus à l'aise.
- InvitéInvité
Re: Par une belle journée de septembre
Mar 23 Oct 2007 - 14:12
Ah mais je te comprends ! Autant de mauvaise bouffe réunie dans un même endroit, ça peut que mettre sur les nerfs !
Camille remonta légèrement son pull, et réussi à attraper quelques poignées d'amour - facile, en station assise.
Je dois avoir trois kilos de marge. Après, je vire anorexique.
Son haut retomba lorsqu'elle retira sa main, et son regard retourna se poser sur les belles et la bête, avec toujours autant de manque de considération pour le blouson noir des temps modernes. Sa vue fut rapidement voilée par le passage d'une nouvelle jeune fille, qui devait être à l'origine du timide salut quelques secondes plus tôt.
*Jamais vue...*
Elle allait interroger Jade, du regard, pour faire discret, mais la nouvelle venue s'était déjà installée à côté d'elles. Forcément. Vu son style, elle allait plus naturellement se tourner vers les deux brunes que vers Georgia et surtout Gabrielle, peut-être son antipode vestimentaire à elle. Même au niveau de la couleur des cheveux, c'était le jour et la nuit, enfin...le crépuscule. Camille nota l'ateba noire sur le côté gauche de la tête, c'était la première véritable excentricité capillaire qu'elle notait, si l'on met à part M'dame Sahari et Enzo, bien sûr. Et aussi, sans doute, le gars qui se transforme en cierge, mais la Bretonne l'avait loupé, il fallait se fier à Jade.
Je sais pas si on s'est déjà croisées...Je m'appelle Abaigh...
C'était dit d'un ton rhétoriquement critiquable, mais qui montrait une certaine envie de lier connaissance. Appréciable, quand on compare à certaines autres présentations - cette fois, Camille se retint de regarder de nouveau.
Salut ! Non, je pense que je m'en souviendrais si je t'avais croisée.
Dans un souci de théâtralité, la Française fit mine de se perdre quelques instants dans ses pensées. Elle trouvait que ça lui donnait l'air intelligent, pendant quelques instants. Et ça validait son déni de connaissance : comment une fille avec une telle mémoire pouvait avoir oublié quelqu'un ? Je vous le demande. Alors qu'en fait, il était possible qu'elles se soient croisées la veille, sans se saluer.
Moi c'est Camille.
Elle allait présenter Jade, mais certains préfèrent le faire eux-mêmes, et elle resta donc coite, avec tout de même la main gauche tendue vers sa camarade. Pour ne pas paraître idiote, elle tenta périlleusement d'enchaîner.
Et euh...Abaigh, tu dis ? C'est de quel pays ? J'avais jamais entendu, même quand j'étais en Bretagne.
Camille remonta légèrement son pull, et réussi à attraper quelques poignées d'amour - facile, en station assise.
Je dois avoir trois kilos de marge. Après, je vire anorexique.
Son haut retomba lorsqu'elle retira sa main, et son regard retourna se poser sur les belles et la bête, avec toujours autant de manque de considération pour le blouson noir des temps modernes. Sa vue fut rapidement voilée par le passage d'une nouvelle jeune fille, qui devait être à l'origine du timide salut quelques secondes plus tôt.
*Jamais vue...*
Elle allait interroger Jade, du regard, pour faire discret, mais la nouvelle venue s'était déjà installée à côté d'elles. Forcément. Vu son style, elle allait plus naturellement se tourner vers les deux brunes que vers Georgia et surtout Gabrielle, peut-être son antipode vestimentaire à elle. Même au niveau de la couleur des cheveux, c'était le jour et la nuit, enfin...le crépuscule. Camille nota l'ateba noire sur le côté gauche de la tête, c'était la première véritable excentricité capillaire qu'elle notait, si l'on met à part M'dame Sahari et Enzo, bien sûr. Et aussi, sans doute, le gars qui se transforme en cierge, mais la Bretonne l'avait loupé, il fallait se fier à Jade.
Je sais pas si on s'est déjà croisées...Je m'appelle Abaigh...
C'était dit d'un ton rhétoriquement critiquable, mais qui montrait une certaine envie de lier connaissance. Appréciable, quand on compare à certaines autres présentations - cette fois, Camille se retint de regarder de nouveau.
Salut ! Non, je pense que je m'en souviendrais si je t'avais croisée.
Dans un souci de théâtralité, la Française fit mine de se perdre quelques instants dans ses pensées. Elle trouvait que ça lui donnait l'air intelligent, pendant quelques instants. Et ça validait son déni de connaissance : comment une fille avec une telle mémoire pouvait avoir oublié quelqu'un ? Je vous le demande. Alors qu'en fait, il était possible qu'elles se soient croisées la veille, sans se saluer.
Moi c'est Camille.
Elle allait présenter Jade, mais certains préfèrent le faire eux-mêmes, et elle resta donc coite, avec tout de même la main gauche tendue vers sa camarade. Pour ne pas paraître idiote, elle tenta périlleusement d'enchaîner.
Et euh...Abaigh, tu dis ? C'est de quel pays ? J'avais jamais entendu, même quand j'étais en Bretagne.
- InvitéInvité
Re: Par une belle journée de septembre
Mar 23 Oct 2007 - 17:36
Le jeune homme leur avait parlé. Plutôt aggressif avec Georgia, il s'était tourné vers Gabrielle et l'avait déshabillé du regard sans vergogne, comme un paysan détaillant l'étalon qu'il avait acheter pour faire monter ses juments.
Gabrielle tourna quelques instants la tête vers lui. Il ressemblait à un moustique. Il bourdonnait autour d'elle, son visage maigre et aigu efflanqué d'un large sourire, une lueur moqueuse dans les yeux. Elle ne l'écoutait pas. Elle ne prit même pas la peine de lui faire remarquer que, loin de cacher ses peurs et ses faiblesses aux autres, son attitude belliqueuse et outrageusement provocante, n'en était qu'une démonstration encore plus éclatante.
Georgia, pendant ce temps, continuait de fixer Gabrielle sans répondre. Cependant son visage semblait le reflet de ses émotions intérieures. Surprise, doute, remise en question...Gabrielle n'avait en aucun cas voulu causer un tel chamboulement chez son interlocutrice.
Celà l'intriguait bien plus que le zigotto tout prêt d'elle.
Pourquoi la jeune fille était-elle si chamboulée par de simples paroles?
N'importe quel bisounours aurait tourné les talons sans rien demander de plus pour aller pleurer dans les bras d'un des autres bisounours de la pièce, maugréant contre l'impolitesse des gens et leur méchanceté.
Mais non, Georgia, elle, avait décidé de creuser plus loin, de voir au delà du ton froid et observateur de Gabrielle.
Et du coup, à présent, c'était Gabrielle qui doutait d'elle.
L'aveu que Georgia lui fit, avouant son impuissance, Gabrielle aurait pu faire le même à présent.
Reniant ses précédentes pensées, un petit sourire amusé apparut sur les lèvres de Gabrielle.Georgia avait bien relevé le défi et fait preuve de son intelligence. Elle faisait à présent parti du cercle d'initiés que Gabrielle estimerait dans l'Institut, sans pour autant en faire ses amis.
"Je m'apelle Gabrielle."finit elle par répondre.
Un peu court, c'était certain, mais Gabrielle ne se perdait jamais en palabres.
Que devait-elle lui dire à présent? Ceder aux sirènes de la facilité en lui demandant depuis combien de temps était-elle arrivée ou "quel était son pouvoir"?
Non, trop facile, trop bateau.
Il començait à y avoir de plus en plus de monde et trop de personnes les regardaient. Sans être agoraphobe ou paranoiaque, Gabrielle n'était pas du genre à aimé être regardé comme un animal de foire.
"Sortons d'ici, on étouffe" se contenta t'elle de dire.
Joignant le geste à la parole, Gabrielle sortit de la cuisine.
[ou tu veux Georgia!]
Gabrielle tourna quelques instants la tête vers lui. Il ressemblait à un moustique. Il bourdonnait autour d'elle, son visage maigre et aigu efflanqué d'un large sourire, une lueur moqueuse dans les yeux. Elle ne l'écoutait pas. Elle ne prit même pas la peine de lui faire remarquer que, loin de cacher ses peurs et ses faiblesses aux autres, son attitude belliqueuse et outrageusement provocante, n'en était qu'une démonstration encore plus éclatante.
Georgia, pendant ce temps, continuait de fixer Gabrielle sans répondre. Cependant son visage semblait le reflet de ses émotions intérieures. Surprise, doute, remise en question...Gabrielle n'avait en aucun cas voulu causer un tel chamboulement chez son interlocutrice.
Celà l'intriguait bien plus que le zigotto tout prêt d'elle.
Pourquoi la jeune fille était-elle si chamboulée par de simples paroles?
N'importe quel bisounours aurait tourné les talons sans rien demander de plus pour aller pleurer dans les bras d'un des autres bisounours de la pièce, maugréant contre l'impolitesse des gens et leur méchanceté.
Mais non, Georgia, elle, avait décidé de creuser plus loin, de voir au delà du ton froid et observateur de Gabrielle.
Et du coup, à présent, c'était Gabrielle qui doutait d'elle.
L'aveu que Georgia lui fit, avouant son impuissance, Gabrielle aurait pu faire le même à présent.
Reniant ses précédentes pensées, un petit sourire amusé apparut sur les lèvres de Gabrielle.Georgia avait bien relevé le défi et fait preuve de son intelligence. Elle faisait à présent parti du cercle d'initiés que Gabrielle estimerait dans l'Institut, sans pour autant en faire ses amis.
"Je m'apelle Gabrielle."finit elle par répondre.
Un peu court, c'était certain, mais Gabrielle ne se perdait jamais en palabres.
Que devait-elle lui dire à présent? Ceder aux sirènes de la facilité en lui demandant depuis combien de temps était-elle arrivée ou "quel était son pouvoir"?
Non, trop facile, trop bateau.
Il començait à y avoir de plus en plus de monde et trop de personnes les regardaient. Sans être agoraphobe ou paranoiaque, Gabrielle n'était pas du genre à aimé être regardé comme un animal de foire.
"Sortons d'ici, on étouffe" se contenta t'elle de dire.
Joignant le geste à la parole, Gabrielle sortit de la cuisine.
[ou tu veux Georgia!]
- Georgia BeccariaX-Rays
- Age : 32
Nom de code : Miracle Lass
Date d'inscription : 22/08/2007
Re: Par une belle journée de septembre
Mar 23 Oct 2007 - 18:47
Le poul de la jeune mutante se calma quelque peu... Après tout, la fin du combat psychologique était bien mieux qu'un match nul, la promesse d'un respect mutuel, sans vouloir parler d'amitié pour autant...
Gabrielle se leva et invita Georgia à la suivre. C'était en matière d'intertextualité une façon élégante de dire que Georgia pouvait maintenant parler normalement à la belle blonde. Le choc avait pris fin et la mutante bavarde pouvait se rassérener.
Acquiesçant aux paroles de Gabrielle, Georgia lui emboita le pas. Elle était calmée certes, mais une question continuait tout de même à la tarauder...
Elle quitta la cuisine en compagnie de Gabrielle...
Salon
Gabrielle se leva et invita Georgia à la suivre. C'était en matière d'intertextualité une façon élégante de dire que Georgia pouvait maintenant parler normalement à la belle blonde. Le choc avait pris fin et la mutante bavarde pouvait se rassérener.
Acquiesçant aux paroles de Gabrielle, Georgia lui emboita le pas. Elle était calmée certes, mais une question continuait tout de même à la tarauder...
Elle quitta la cuisine en compagnie de Gabrielle...
Salon
- InvitéInvité
Re: Par une belle journée de septembre
Mar 23 Oct 2007 - 20:52
bureau de Fleury
Comme annoncé par la première stupidité du matin, sortie de la bouche de Math, la journée continuait sur la pente de la catastrophe. Alixtide venait d’en avoir la confirmation avec le docteur Fleury. Certes cela ne l’avait nullement étonné, et de toute façon, on ne peut rien faire contre une journée catastrophique. Autant donc poursuivre sereinement sur cette lancée, en se jetant dans la fosse aux lions : la cuisine. Il était encore trop tôt pour qu’elle soit vide. Et puis pour conjurer le mauvais sort, rien de tel que de lui rentrer dedans, la tête la première.
Le mutant malodorant entra donc tranquillement et innocemment dans la pièce la plus populaire de l’Institut. Il reconnut bien sûr Niko, qui dans un tel endroit faisait partie des meubles, mais aussi la pipelette gaffeuse de Camille, et la petite brune à côté. Une troisième fille finissait de former la brochette. Un trio de filles placé comme ça, c’est ragots et rumeurs assurées. Draena n’était pas là, encore un bon point. Quand au dernier larron au regard bizarre, et son voisin le noiraud, Alixtide ne les connaissait pas et n’avait pas l’intention d’améliorer cette situation pour le moment.
Après avoir tâché d’attraper au vol le regard de Camille, et s’épargner ainsi d’avoir à prononcer « bonjour », il alla droit à la poubelle. Fait rarissime dans sa courte vie de mutant, il fit un don plutôt qu’un prélèvement. Il jeta sa boite sans se baisser, un sourire amusé aux lèvres. Puis il regarda dans l’évier. Il s’y entassait quelques tasses, bols et couverts divers. Et quelques menues affaires laissées là par les mangeurs nocturnes et paresseux. Tout cela ferait l’affaire pour la boisson chaude du matin. Alixtide se retroussa les manches de chemise et fit couler de l’eau. Il chercha l’éponge la plus usée possible et l’arrosa de produit vaisselle à la lavande.
Il commença tranquillement à faire la vaisselle, laissant traîner ses oreilles du côté des jeunes filles. Alixtide n’était pas contre quelques informations gratuites sur la vie intime de l’Institut. Il adressa quand même un signe de la main à ce cher Niko, le plus gros poltron de la maison.
Comme annoncé par la première stupidité du matin, sortie de la bouche de Math, la journée continuait sur la pente de la catastrophe. Alixtide venait d’en avoir la confirmation avec le docteur Fleury. Certes cela ne l’avait nullement étonné, et de toute façon, on ne peut rien faire contre une journée catastrophique. Autant donc poursuivre sereinement sur cette lancée, en se jetant dans la fosse aux lions : la cuisine. Il était encore trop tôt pour qu’elle soit vide. Et puis pour conjurer le mauvais sort, rien de tel que de lui rentrer dedans, la tête la première.
Le mutant malodorant entra donc tranquillement et innocemment dans la pièce la plus populaire de l’Institut. Il reconnut bien sûr Niko, qui dans un tel endroit faisait partie des meubles, mais aussi la pipelette gaffeuse de Camille, et la petite brune à côté. Une troisième fille finissait de former la brochette. Un trio de filles placé comme ça, c’est ragots et rumeurs assurées. Draena n’était pas là, encore un bon point. Quand au dernier larron au regard bizarre, et son voisin le noiraud, Alixtide ne les connaissait pas et n’avait pas l’intention d’améliorer cette situation pour le moment.
Après avoir tâché d’attraper au vol le regard de Camille, et s’épargner ainsi d’avoir à prononcer « bonjour », il alla droit à la poubelle. Fait rarissime dans sa courte vie de mutant, il fit un don plutôt qu’un prélèvement. Il jeta sa boite sans se baisser, un sourire amusé aux lèvres. Puis il regarda dans l’évier. Il s’y entassait quelques tasses, bols et couverts divers. Et quelques menues affaires laissées là par les mangeurs nocturnes et paresseux. Tout cela ferait l’affaire pour la boisson chaude du matin. Alixtide se retroussa les manches de chemise et fit couler de l’eau. Il chercha l’éponge la plus usée possible et l’arrosa de produit vaisselle à la lavande.
Il commença tranquillement à faire la vaisselle, laissant traîner ses oreilles du côté des jeunes filles. Alixtide n’était pas contre quelques informations gratuites sur la vie intime de l’Institut. Il adressa quand même un signe de la main à ce cher Niko, le plus gros poltron de la maison.
- InvitéInvité
Re: Par une belle journée de septembre
Mar 23 Oct 2007 - 21:00
Iacobo n'eut le droit qu'a une simple esquive et une petite reponse murmuree , quasi faiblarde ; ce qui lui changea du punch gansta qu'il avait pu recevoir la veille .
Tres vite les deux filles quitterent la cuisine apres une discussion rapide qui ressemblait a un semblant de nouage de liens pour jeunes autistes , leur fierte leur empechant enfait de proceder de la meme facon que la fille au fort accent francais et ses copines lesbiennes ( ce qui etait enfait un pur fantasme du jeune serbe ) .
L'ex prostitue put donc reprendre son activite , c'est a dire faire bouillir les cereales , le lait et le sucre ; ce qui lui donna un porridge basique et ignoble .
Il n'y avait malheureusement qu'une table et Iacobo se vit contraint de s'asseoir en face du groupe , plongeant son regard dans la bouillie blanche et mal odorante .
En meme temps le jeune drogue s'exercait a effectuer des contractions de son bras pour eventuellement faire sortir un os et pensa aux objets qu'il allait devoir acheter cet apres midi .
Tres vite les deux filles quitterent la cuisine apres une discussion rapide qui ressemblait a un semblant de nouage de liens pour jeunes autistes , leur fierte leur empechant enfait de proceder de la meme facon que la fille au fort accent francais et ses copines lesbiennes ( ce qui etait enfait un pur fantasme du jeune serbe ) .
L'ex prostitue put donc reprendre son activite , c'est a dire faire bouillir les cereales , le lait et le sucre ; ce qui lui donna un porridge basique et ignoble .
Il n'y avait malheureusement qu'une table et Iacobo se vit contraint de s'asseoir en face du groupe , plongeant son regard dans la bouillie blanche et mal odorante .
En meme temps le jeune drogue s'exercait a effectuer des contractions de son bras pour eventuellement faire sortir un os et pensa aux objets qu'il allait devoir acheter cet apres midi .
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Re: Par une belle journée de septembre
Mer 24 Oct 2007 - 1:40
Alors que Camille et Jade étaient reparties dans leurs observations, une nouvelle tête, une de plus, venait s'ajouter à la foule déja présente.
La jeune fille entrait timidement dans la pièce, saluant également timidement l'assemblée avant de finir par s'assoir à côté de des deux françaises. Elle se présenta à elles, l'air un peu plus confiant, comme ci au fond tout ce qu'elle cherchait ici et à ce moment, était de la compagnie. Camille prit l'initiative et commença a se présenter en retour à la jeune fille.
"Salut Abaigh!" Répondit ensuite Jade avec un grand sourire.
"Et euh...Abaigh, tu dis ? C'est de quel pays ? J'avais jamais entendu, même quand j'étais en Bretagne."
En effet, Jade non plus n'avait jamais entendu ce prénom. Elle trouvait ca joli, mais en français ca ne donnait pas du tout la même impression "abeille"! Jade souria toute seule alors qu'un autre nouveau arriva et que les deux blondes sortaient.
Jade se souvenait bien du garçon qui venait d'entrer, ou plutot, ses narines lui rappellèrent ce garçon. C'était celui qui lui avait mis un vent monumental lorsqu'elle s'était présenté à lui, le soir d'avant.
Pendant ce temps, le casanova version homme des cavernes s'était installé en face d'elles. Cela commençait à faire un peu trop pour Jade qui se sentit soudainement à l'étroit. Il ne manquerait plus qu'il se mette à leur parler et ce serait le bouquet! Jade esperait donc qu'elles quitteraient la pièce avant que cela n'arrive.
Elle se refocalisa sur la nouvelle venue avec interêt.
La jeune fille entrait timidement dans la pièce, saluant également timidement l'assemblée avant de finir par s'assoir à côté de des deux françaises. Elle se présenta à elles, l'air un peu plus confiant, comme ci au fond tout ce qu'elle cherchait ici et à ce moment, était de la compagnie. Camille prit l'initiative et commença a se présenter en retour à la jeune fille.
"Salut Abaigh!" Répondit ensuite Jade avec un grand sourire.
"Et euh...Abaigh, tu dis ? C'est de quel pays ? J'avais jamais entendu, même quand j'étais en Bretagne."
En effet, Jade non plus n'avait jamais entendu ce prénom. Elle trouvait ca joli, mais en français ca ne donnait pas du tout la même impression "abeille"! Jade souria toute seule alors qu'un autre nouveau arriva et que les deux blondes sortaient.
Jade se souvenait bien du garçon qui venait d'entrer, ou plutot, ses narines lui rappellèrent ce garçon. C'était celui qui lui avait mis un vent monumental lorsqu'elle s'était présenté à lui, le soir d'avant.
Pendant ce temps, le casanova version homme des cavernes s'était installé en face d'elles. Cela commençait à faire un peu trop pour Jade qui se sentit soudainement à l'étroit. Il ne manquerait plus qu'il se mette à leur parler et ce serait le bouquet! Jade esperait donc qu'elles quitteraient la pièce avant que cela n'arrive.
Elle se refocalisa sur la nouvelle venue avec interêt.
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Re: Par une belle journée de septembre
Mer 24 Oct 2007 - 2:20
Matas sentait qui avait beaucoup trop de monde autour de lui. Il se leva d'un bond, alla poser son assiette dans le levier où un homme faisait la vaisselle et quitta la pièce.
Jardin
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- Abaigh Mc CullohLeX
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Re: Par une belle journée de septembre
Mer 24 Oct 2007 - 15:03
Abaigh avait eu raison de s'installer à cet endroit et près de ces deux demoiselles : elles semblaient ouvertes et gentilles. Une fois qu'Abaigh eut donné son prénom, elles se présentèrent à leur tour. Camille, et Jade qui, comme Abaigh, n'avaient guère l'accent américain même si elles maîtrisaient l'anglais.
Le sourire d'Abaigh s'élargit doucement et elle but une nouvelle gorgée de soda avant de leur donner quelques informations quant à son origine.
"Je suis Irlandaise et je n'avais jamais quitté le pays jusqu'à présent."
Une petite lueur dans le regard. Oh oui notre mutante était Irlandaise, et elle en était fière. Et il était clair que son accent ne pouvait pas vraiment passer inaperçu.
La manière dont elles prononcèrent son prénom la fit quelque peu sourire. La prononciation Gaélique était assez particulière et elle ne reprit pas les filles, préférant les laisser prononcer son prénom comme cela leur venait le plus naturellement.
Elle eut un bref regard pour le garçon qui venait de commencer à faire la vaisselle. Etrange... Un garçon qui, comme ça, spontanément, s'en va faire la vaisselle... Soit il était une exception rare, soit il avait un intérêt particulier à rester dans la cuisine. La deuxième hypothèse était sans doute la plus probable mais qu'importe.
Abaigh reporta son attention sur Camille et Jade.
"Donc... Ca fait longtemps que vous êtes à l'Institut? Moi, ça ne fait que quelques jours..."
Abaigh était très à l'aise avec elles et la preuve en était qu'elle parlait avec facilité et naturel ce qui, elles avaient pu le voir, n'avait pas du tout été le cas lorsqu'elle était entrée dans la cuisine.
Le sourire d'Abaigh s'élargit doucement et elle but une nouvelle gorgée de soda avant de leur donner quelques informations quant à son origine.
"Je suis Irlandaise et je n'avais jamais quitté le pays jusqu'à présent."
Une petite lueur dans le regard. Oh oui notre mutante était Irlandaise, et elle en était fière. Et il était clair que son accent ne pouvait pas vraiment passer inaperçu.
La manière dont elles prononcèrent son prénom la fit quelque peu sourire. La prononciation Gaélique était assez particulière et elle ne reprit pas les filles, préférant les laisser prononcer son prénom comme cela leur venait le plus naturellement.
Elle eut un bref regard pour le garçon qui venait de commencer à faire la vaisselle. Etrange... Un garçon qui, comme ça, spontanément, s'en va faire la vaisselle... Soit il était une exception rare, soit il avait un intérêt particulier à rester dans la cuisine. La deuxième hypothèse était sans doute la plus probable mais qu'importe.
Abaigh reporta son attention sur Camille et Jade.
"Donc... Ca fait longtemps que vous êtes à l'Institut? Moi, ça ne fait que quelques jours..."
Abaigh était très à l'aise avec elles et la preuve en était qu'elle parlait avec facilité et naturel ce qui, elles avaient pu le voir, n'avait pas du tout été le cas lorsqu'elle était entrée dans la cuisine.
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Re: Par une belle journée de septembre
Mer 24 Oct 2007 - 20:11
La discussion des filles semblait véritablement passionnante … Pas étonnant vu que la brune était nouvelle. Alixtide fut plus surpris de la réplique d’Abègue, qui disait être là depuis quelques jours. Un coup d’œil par-dessus son épaule lui confirma qu’il ne l’avait jamais croisée. Au passage il remarqua que le grand bizarre jouait avec son bras, juste en face d’elles. Bien sûr tout cela ne formait pas les circonstances propices aux ragots. Il en fut un peu dépité.
*Y’a donc rien qui marche aujourd’hui ? Nan purin impossible …*
Il remit pèle mêle les couverts sur l’égouttoir, sans passer par la case rinçage. Il garda juste un bol qu’il remplit d’eau de vaisselle. A sa grande déception le mélange se révéla très clair et à peine teinté de mousse. Les petits morceaux organiques divers qu’il put aller récupérer au fin fond de l’évier n’agrémentèrent que peu sa boisson. Il s’essuya vite fait les mains avec un torchon, claqua celui-ci sur son épaule, et regarda la pièce dans ces moindres recoins, à la recherche de l’inspiration. Enfin son regard inquisiteur s’illumina et un sourire content se dessina sur ses lèvres.
Tout en suivant bien sûr l’évolution de la frêle conversation ambiante, Alixtide prit son bol d’eau de vaisselle parfumée lavande et le mit au micro-onde. L’eau chaude ne tarda pas à bouillir. Il sortit le tout et vint s’asseoir à la table, non sans s’être armé d’une cuillère. Il regarda les trois filles avec un intérêt nouveau.
« Ca fait que quelques jours aussi, que j’y suis. Mais comment je t’ai pas vu avant Abègue ?? Parce que ça a l’air grand mais on est toujours aux mêmes endroits en fait … »
Son regard dévia sur le gros Niko, qui s’empiffrait près de la fenêtre, puis sur le bras du grand bizarre.
*Je l’ai déjà aperçu lui, mais où et quand ?? Bah …*
Il mit ses mains de chaque côté de son bol fumant pour se réchauffer.
*Y’a donc rien qui marche aujourd’hui ? Nan purin impossible …*
Il remit pèle mêle les couverts sur l’égouttoir, sans passer par la case rinçage. Il garda juste un bol qu’il remplit d’eau de vaisselle. A sa grande déception le mélange se révéla très clair et à peine teinté de mousse. Les petits morceaux organiques divers qu’il put aller récupérer au fin fond de l’évier n’agrémentèrent que peu sa boisson. Il s’essuya vite fait les mains avec un torchon, claqua celui-ci sur son épaule, et regarda la pièce dans ces moindres recoins, à la recherche de l’inspiration. Enfin son regard inquisiteur s’illumina et un sourire content se dessina sur ses lèvres.
Tout en suivant bien sûr l’évolution de la frêle conversation ambiante, Alixtide prit son bol d’eau de vaisselle parfumée lavande et le mit au micro-onde. L’eau chaude ne tarda pas à bouillir. Il sortit le tout et vint s’asseoir à la table, non sans s’être armé d’une cuillère. Il regarda les trois filles avec un intérêt nouveau.
« Ca fait que quelques jours aussi, que j’y suis. Mais comment je t’ai pas vu avant Abègue ?? Parce que ça a l’air grand mais on est toujours aux mêmes endroits en fait … »
Son regard dévia sur le gros Niko, qui s’empiffrait près de la fenêtre, puis sur le bras du grand bizarre.
*Je l’ai déjà aperçu lui, mais où et quand ?? Bah …*
Il mit ses mains de chaque côté de son bol fumant pour se réchauffer.
- InvitéInvité
Re: Par une belle journée de septembre
Mer 24 Oct 2007 - 21:26
Camille avait souri à l'entrée d'Alixtide dans la pièce. Malgré ses quelques défauts, elle trouvait ce blondinet sympathique, bien que dangereusement déconnecté de la réalité. C'est ce qui devait faire son charme.
Irlande ? Ouah, t'es celtillonne aussi ?
Grand sourire. Elle n'avait jamais mis les pieds dans le pays du trèfle, mais leur lointaine ascendance les rapprochait.
Ben...trois-quatre jours. Mais je vais parrainer cette pauvre petite Jade qui est encore plus bleue que moi. Sans ma présence réconfortante, je suis certaine qu'elle arrivera à rien.
Sa phrase fut ponctuée par un clin d'oeil en direction de l'intéressée, puis Alixtide arriva. Par réflexe, elle détourna les yeux de son verre, pour s'épargner une nausée. Et par politesse, elle ne voulut rien savoir de ce qu'il y avait mis. Les grands magiciens gardent toujours leurs secrets.
D'ailleurs, pour ta première mission, Jade, si tu pouvais imaginer une activité pour après le p'tit-dèj, ce serait vraiment parfait.
Bien que le papotage dans la cuisine ne lui déplaisait pas, Camille voulait voir vers l'avenir, anticiper vers l'ennui qui la guettait au sortir de cette petite réunion comme le loup le petit chaperon rouge. Et pour son plus grand malheur, elle n'avait strictement aucune idée intéressante. Alors des fois que l'autre Française aie été animatrice, ou soit dotée d'une imagination débordante...Elle se tourna vers Abaigh.
Note que si toi aussi tu as une idée, je suis preneuse. J'ai envie de faire quelque chose, de me bouger. On se la coule trop douce dans ce palace.
Et pour ponctuer sa phrase, elle se balança sur sa chaise, les mains derrière la tête. Un peu trop, car elle manqua de tomber, et se rattrapa de justesse à la table.
Irlande ? Ouah, t'es celtillonne aussi ?
Grand sourire. Elle n'avait jamais mis les pieds dans le pays du trèfle, mais leur lointaine ascendance les rapprochait.
Ben...trois-quatre jours. Mais je vais parrainer cette pauvre petite Jade qui est encore plus bleue que moi. Sans ma présence réconfortante, je suis certaine qu'elle arrivera à rien.
Sa phrase fut ponctuée par un clin d'oeil en direction de l'intéressée, puis Alixtide arriva. Par réflexe, elle détourna les yeux de son verre, pour s'épargner une nausée. Et par politesse, elle ne voulut rien savoir de ce qu'il y avait mis. Les grands magiciens gardent toujours leurs secrets.
D'ailleurs, pour ta première mission, Jade, si tu pouvais imaginer une activité pour après le p'tit-dèj, ce serait vraiment parfait.
Bien que le papotage dans la cuisine ne lui déplaisait pas, Camille voulait voir vers l'avenir, anticiper vers l'ennui qui la guettait au sortir de cette petite réunion comme le loup le petit chaperon rouge. Et pour son plus grand malheur, elle n'avait strictement aucune idée intéressante. Alors des fois que l'autre Française aie été animatrice, ou soit dotée d'une imagination débordante...Elle se tourna vers Abaigh.
Note que si toi aussi tu as une idée, je suis preneuse. J'ai envie de faire quelque chose, de me bouger. On se la coule trop douce dans ce palace.
Et pour ponctuer sa phrase, elle se balança sur sa chaise, les mains derrière la tête. Un peu trop, car elle manqua de tomber, et se rattrapa de justesse à la table.
- InvitéInvité
Re: Par une belle journée de septembre
Mer 24 Oct 2007 - 23:11
"Ben...trois-quatre jours. Mais je vais parrainer cette pauvre petite Jade qui est encore plus bleue que moi. Sans ma présence réconfortante, je suis certaine qu'elle arrivera à rien."
Jade répondit au clin d'oeil de Camille par un sourire communicatif. Pour elle, se faire parrainer, était une façon pour Camille de dire qu'elles pourraient bien devenir amies! Enfin bref, le courant entre elles avait l'air de bien passer, et "Abeille" avait l'air très gentille également. Et ce garçon blond avec son liquide vaisselle aussi en fin de compte... Liquide vaisselle?
"Eyh! N'avale pas ca! Tu vas te tuer!" Cria Jade les yeux écarquillés de terreur.
Puis la peur passée, elle regarda un peu mieux le comportement du jeune homme, pour finalement se rendre compte qu'il avait tout à fait l'air de savoir ce qu'il faisait. Sa mutation avait surement un rapport avec ca... Peut être devait il avaler tout les matin un bol de liquide vaisselle... accompagné par... plein de trucs... bizarres... beurk! Confuse, elle lui souria nerveusement avant de se retourner vers les deux filles.
"Excuse moi!" Dit elle au garçon. Ce dernier se contenta dans un premier temps par tout simplement répondre par:
« Ca fait que quelques jours aussi, que j’y suis. Mais comment je t’ai pas vu avant Abègue ?? Parce que ça a l’air grand mais on est toujours aux mêmes endroits en fait … »
Encore un nouveau? Décidément, a croire que tout le monde est nouveau ici...
"D'ailleurs, pour ta première mission, Jade, si tu pouvais imaginer une activité pour après le p'tit-dèj, ce serait vraiment parfait." Lui dit Camille
Une activité pour après, en voila une idée... Comment pouvait elle savoir quoi faire où, alors qu'elle ne connaissait même pas encore ni le lieu ni les goûts et envies de Camille et Abaigh. Mais quelque chose la perturba quelque peu:
"Mais, heu... Je suis pas encore au courant de comment les choses marchent ici, mais... On est pas supposés avoir des cours ce matin? Si non, bah, je vous proposerais bien dans un premier temps d'aller au salon, je n'y suis pas encore allé!"
Jade répondit au clin d'oeil de Camille par un sourire communicatif. Pour elle, se faire parrainer, était une façon pour Camille de dire qu'elles pourraient bien devenir amies! Enfin bref, le courant entre elles avait l'air de bien passer, et "Abeille" avait l'air très gentille également. Et ce garçon blond avec son liquide vaisselle aussi en fin de compte... Liquide vaisselle?
"Eyh! N'avale pas ca! Tu vas te tuer!" Cria Jade les yeux écarquillés de terreur.
Puis la peur passée, elle regarda un peu mieux le comportement du jeune homme, pour finalement se rendre compte qu'il avait tout à fait l'air de savoir ce qu'il faisait. Sa mutation avait surement un rapport avec ca... Peut être devait il avaler tout les matin un bol de liquide vaisselle... accompagné par... plein de trucs... bizarres... beurk! Confuse, elle lui souria nerveusement avant de se retourner vers les deux filles.
"Excuse moi!" Dit elle au garçon. Ce dernier se contenta dans un premier temps par tout simplement répondre par:
« Ca fait que quelques jours aussi, que j’y suis. Mais comment je t’ai pas vu avant Abègue ?? Parce que ça a l’air grand mais on est toujours aux mêmes endroits en fait … »
Encore un nouveau? Décidément, a croire que tout le monde est nouveau ici...
"D'ailleurs, pour ta première mission, Jade, si tu pouvais imaginer une activité pour après le p'tit-dèj, ce serait vraiment parfait." Lui dit Camille
Une activité pour après, en voila une idée... Comment pouvait elle savoir quoi faire où, alors qu'elle ne connaissait même pas encore ni le lieu ni les goûts et envies de Camille et Abaigh. Mais quelque chose la perturba quelque peu:
"Mais, heu... Je suis pas encore au courant de comment les choses marchent ici, mais... On est pas supposés avoir des cours ce matin? Si non, bah, je vous proposerais bien dans un premier temps d'aller au salon, je n'y suis pas encore allé!"
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Re: Par une belle journée de septembre
Mer 24 Oct 2007 - 23:27
Manger un porridge sovietique s'averait etre une tache plus compliquee que prevue : non seulement parceque la recette en elle meme etait des plus ignobles mais aussi par la presence d'un affreux petit enfant de coeur clochard et mangeur de lessive qui venait de s'installer a ses cotes , sirotant doucement son breuvage.
Iacobo l'observa quelques secondes , soupira puis se replongea dans la bouillie .
Tout aurait pu etre simple , harmonieux mais la discussion des petites irlandaises en face commencait a l'irriter tres fortement . Elles n'avaient a proprement parler rien fait de mal mais leur melange de naivete et d'hypocrisie caracterisable dans leurs petits dialogues de bienvenue le pousserent a bout : pourquoi ne pouvaient-elles pas en venir directement au fait , pourquoi fallait-il tout enrober d'une fausse gentillesse pathetique et parler de ses racines dont personne n'en avait rien a cogner .
Le serbe ne put s'empecher de briser l'atmosphere atroce qui regnait dans la piece , il fallait de la provocation , du salace , du vicieux .
" Alors qu'est ce qu'on fait ? On fait l'amour ? T'es d'accord Joe , tu veux bien lacher la lessive pour passer aux choses serieuses ? Un petit truc collectif vite fait bien fait , a l'irlandaise ! "
Iacobo l'observa quelques secondes , soupira puis se replongea dans la bouillie .
Tout aurait pu etre simple , harmonieux mais la discussion des petites irlandaises en face commencait a l'irriter tres fortement . Elles n'avaient a proprement parler rien fait de mal mais leur melange de naivete et d'hypocrisie caracterisable dans leurs petits dialogues de bienvenue le pousserent a bout : pourquoi ne pouvaient-elles pas en venir directement au fait , pourquoi fallait-il tout enrober d'une fausse gentillesse pathetique et parler de ses racines dont personne n'en avait rien a cogner .
Le serbe ne put s'empecher de briser l'atmosphere atroce qui regnait dans la piece , il fallait de la provocation , du salace , du vicieux .
" Alors qu'est ce qu'on fait ? On fait l'amour ? T'es d'accord Joe , tu veux bien lacher la lessive pour passer aux choses serieuses ? Un petit truc collectif vite fait bien fait , a l'irlandaise ! "
- InvitéInvité
Re: Par une belle journée de septembre
Jeu 25 Oct 2007 - 0:09
Alixtide adressa un geste courtois à Jade pour lui faire comprendre que non, elle n’avait pas besoin de se soucier de ce qu’il faisait avec son bol d’eau chaude. Il écouta d’un air distrait les paroles échangées, tout en goûtant un peu son eau. Pour lui le programme était très clair. La mâtinée on allait se faire écharper en cours, et l’après-midi, il y avait barbecue.
Laissant le soin à quelqu’un d’autre d’expliquer cet inexorable enchaînement de la journée, il se pencha sur le côté, comme pour enlever, ou gratter un truc gênant sur son pied. L’idée de visiter le salon ne lui plaisait pas outre mesure, mais en même temps les filles n’avaient pas précisé qu’il devait les accompagner. C’est alors que le grand bizarre sortit de sa morosité pour faire une proposition surprenante.
Alixtide disparut une seconde, penché sous le niveau de la table, d’où il demanda avec une curiosité amusée.
« Wah purin, t’es sérieux ?? Pfff … ça m’étonnerait que les filles soient d’accord … »
*Il est pas très diplomate celui-là … On en voit des bizarreries à l’Institut … Non mais comme si on faisait ce genre de truc comme ça dans une cuisine collective …*
Sur un ton dénué de toute crédulité, il enchaîna, avec la sagesse qui le caractérise :
« Moi je me méfierai à ta place, hein, entre amis là … Y’a pas quelques minutes, si je m’approchais trop près d’un garçon, il me cramait de la tête aux pieds. En s’excusant mais bon … Ici faut être plus prudent qu’à l’ordinaire. »
Il revint à la surface de la table avec dans sa main sa chaussette. Ou plutôt, un immonde morceau de coton qui allait en dégradé du noir charbon (au bout du pied) au blanc crémeux (en haut de la cheville) en passant par toutes les nuances de marron jaunâtre. Puis méticuleusement, et avec tout de même un geste d’excuse à l’égard de l’odorat de ses comparses, il glissa la chaussette de deux mois d'âge dans son bol d’eau bouillante. Il écrasa un peu avec sa cuillère, laissant dépasser du bol le bout de la chaussette encore blanc.
Il laissa tranquillement infuser, touillant avec patience. Humant l’air comme un gentleman anglais devant son thé quotidien.
« Donc pour cet après-midi y’a le fameux barbecue. Ce matin, y’a les cours. Avant ça, on a encore un peu de temps. Surtout que le directeur est occupé. On pourrait faire un truc collectif, mais qui nous amène pas d’ennuis parce que bon … Heu pourquoi pas un bras de fer ? Dans mon lycée on faisait bras de fer par équipe, et avec droit de déconcentrer l’autre par touts les moyens possibles et inimaginables. »
*Ah ouais c’était marrant ce jeu …*
Pensa-t-il avec un sourire nostalgique et bon enfant.
Laissant le soin à quelqu’un d’autre d’expliquer cet inexorable enchaînement de la journée, il se pencha sur le côté, comme pour enlever, ou gratter un truc gênant sur son pied. L’idée de visiter le salon ne lui plaisait pas outre mesure, mais en même temps les filles n’avaient pas précisé qu’il devait les accompagner. C’est alors que le grand bizarre sortit de sa morosité pour faire une proposition surprenante.
Alixtide disparut une seconde, penché sous le niveau de la table, d’où il demanda avec une curiosité amusée.
« Wah purin, t’es sérieux ?? Pfff … ça m’étonnerait que les filles soient d’accord … »
*Il est pas très diplomate celui-là … On en voit des bizarreries à l’Institut … Non mais comme si on faisait ce genre de truc comme ça dans une cuisine collective …*
Sur un ton dénué de toute crédulité, il enchaîna, avec la sagesse qui le caractérise :
« Moi je me méfierai à ta place, hein, entre amis là … Y’a pas quelques minutes, si je m’approchais trop près d’un garçon, il me cramait de la tête aux pieds. En s’excusant mais bon … Ici faut être plus prudent qu’à l’ordinaire. »
Il revint à la surface de la table avec dans sa main sa chaussette. Ou plutôt, un immonde morceau de coton qui allait en dégradé du noir charbon (au bout du pied) au blanc crémeux (en haut de la cheville) en passant par toutes les nuances de marron jaunâtre. Puis méticuleusement, et avec tout de même un geste d’excuse à l’égard de l’odorat de ses comparses, il glissa la chaussette de deux mois d'âge dans son bol d’eau bouillante. Il écrasa un peu avec sa cuillère, laissant dépasser du bol le bout de la chaussette encore blanc.
Il laissa tranquillement infuser, touillant avec patience. Humant l’air comme un gentleman anglais devant son thé quotidien.
« Donc pour cet après-midi y’a le fameux barbecue. Ce matin, y’a les cours. Avant ça, on a encore un peu de temps. Surtout que le directeur est occupé. On pourrait faire un truc collectif, mais qui nous amène pas d’ennuis parce que bon … Heu pourquoi pas un bras de fer ? Dans mon lycée on faisait bras de fer par équipe, et avec droit de déconcentrer l’autre par touts les moyens possibles et inimaginables. »
*Ah ouais c’était marrant ce jeu …*
Pensa-t-il avec un sourire nostalgique et bon enfant.
- InvitéInvité
Re: Par une belle journée de septembre
Jeu 25 Oct 2007 - 5:45
Joachim après avoir reçu l'aval de Niko prit un pancake. Mais entendre Iacobo faire cette remarque lui fit un coc, comme les gens començaient à l'appeller "Jo" il prit aussi la remarque pour lui et alors même qu'il était en face de son voisin de chambre et q'il allait croquer dans son pancake qui avait l'air si bon, celui-ci tomba en cendre!
Les cendrs, elles, tombèrent vers le bas, comme tout objet qu'on lâche, ou comme sa tête qui ne fut retenue que par son cou. Rapidement suivi par son corp lui-même! Il se retrouva accroupi, juste sous le niveau de la table à gigoter un peu comme un autiste. Deux fois en moins de vingt quatre heures, c'était beaucoup trop! Décidémment, il allait vraient falloir qu'il voit quelqu'un ou à ce rythme-là ses derniers vêtements ne tiendraient même pas jusqu'à ce qu'il puisse en racheter.
*Calmes-toi! Calmes-toi! Ca va aller!* se dit-il.
Les cendrs, elles, tombèrent vers le bas, comme tout objet qu'on lâche, ou comme sa tête qui ne fut retenue que par son cou. Rapidement suivi par son corp lui-même! Il se retrouva accroupi, juste sous le niveau de la table à gigoter un peu comme un autiste. Deux fois en moins de vingt quatre heures, c'était beaucoup trop! Décidémment, il allait vraient falloir qu'il voit quelqu'un ou à ce rythme-là ses derniers vêtements ne tiendraient même pas jusqu'à ce qu'il puisse en racheter.
*Calmes-toi! Calmes-toi! Ca va aller!* se dit-il.
- Jay SirianX-Rays
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Equipe : KozaX
Nom de code : Push
Date d'inscription : 21/10/2006
Re: Par une belle journée de septembre
Jeu 25 Oct 2007 - 9:41
Jay avait fini par se demander ce qu’il faisait là, non pas à l’Institut mais au milieu de gens qu’il n’avait croisé qu’une seule fois ici. Il se mit presque à regretter l’époque où il traînait dans la rue. Presque, au moins ici, il y avait des gâteaux. Bref entre les deux filles qui s’étaient parlé bizarrement puis qui étaient parti ensemble, des gars qui racontaient n’importe quoi et un autre qui n’arrivait pas à manger, il y avait vraiment de quoi se poser des questions.
**une fichue journée qui commence, vraiment. J’espère que Vayne va apporter de bonne nouvelle sinon je sens que je vais exploser.**
Plongeant la main dans sa boite de gâteau puis en mangeant encore un, puis deux… il oublia ses pensées premières. Pour le simple plaisir de ce petit déjeuner.
Enfin, il reposa la boite là où il l’avait prise, c’est-à-dire dans le placard et sortit de la cuisine.
**bon, où je vais aller maintenant ?**
foyer
**une fichue journée qui commence, vraiment. J’espère que Vayne va apporter de bonne nouvelle sinon je sens que je vais exploser.**
Plongeant la main dans sa boite de gâteau puis en mangeant encore un, puis deux… il oublia ses pensées premières. Pour le simple plaisir de ce petit déjeuner.
Enfin, il reposa la boite là où il l’avait prise, c’est-à-dire dans le placard et sortit de la cuisine.
**bon, où je vais aller maintenant ?**
foyer
- InvitéInvité
Re: Par une belle journée de septembre
Jeu 25 Oct 2007 - 16:06
chambre de Mariann
Elle se repéra rapidement et trouva bien vite la charmante cuisine. Un rafu de plusieurs adolescentset d'ustensiles lui avait tout bonnement indiqués le chemin depuis le hall. En entrant, elle bailla, pas encore très bien réveillée, et avisa une place libre à travers la dizaines d'ados et se dépêcha d'aller s'y asseoir. Sur la table, diverses sortes de céréales et de tartinades attendaient gentiment que l'on les ouvrent et que l'on les utilisent. Sans se faire prier, L'ange prit du pain et du "Cheez wizz" ( fromage semi-liquide à tartiner) et s'en fit des toasts. En petit-déjeunant, elle fouilla du regard l'endroit et y trouva Jade.
Elle fini de manger son unique toast et se leva pour aller saluer gentiment Jade en premier.
- Salut Jade ! Ça va bien ce matin ? Moi je vais super bien, fatiguée mais bien ! Bon moi je te laisse, je vais aller faire connaisance avec ma colocataire ! Ciao !
Aussi rapidement qu'elle était arrivée devant Jade, elle repartie voir où sa sa coloc' pourrait être.
Jardins
Elle se repéra rapidement et trouva bien vite la charmante cuisine. Un rafu de plusieurs adolescentset d'ustensiles lui avait tout bonnement indiqués le chemin depuis le hall. En entrant, elle bailla, pas encore très bien réveillée, et avisa une place libre à travers la dizaines d'ados et se dépêcha d'aller s'y asseoir. Sur la table, diverses sortes de céréales et de tartinades attendaient gentiment que l'on les ouvrent et que l'on les utilisent. Sans se faire prier, L'ange prit du pain et du "Cheez wizz" ( fromage semi-liquide à tartiner) et s'en fit des toasts. En petit-déjeunant, elle fouilla du regard l'endroit et y trouva Jade.
Elle fini de manger son unique toast et se leva pour aller saluer gentiment Jade en premier.
- Salut Jade ! Ça va bien ce matin ? Moi je vais super bien, fatiguée mais bien ! Bon moi je te laisse, je vais aller faire connaisance avec ma colocataire ! Ciao !
Aussi rapidement qu'elle était arrivée devant Jade, elle repartie voir où sa sa coloc' pourrait être.
Jardins
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Re: Par une belle journée de septembre
Ven 26 Oct 2007 - 3:45
La "réponse" du bad guy laissa d'abord Camille silencieuse. Elle attendit qu'il finisse sa phrase, posa calmement ses mains sur la table, et ouvrit la bouche, mais Alixtide l'avait devancée. Les secondes que durèrent les paroles du blondinet lui permirent de pratiquer un intense exercice d'intériorisation des pensées visant à l'amener à la zen attitude absolue.
Elle se doutait plus ou moins qu'il allait à un moment ou l'autre ramener sa fraise dans leur agréable petit trio - quadrio avec Alix - mais elle ne savait pas comment. Maintenant, elle était fixée. Elle garda ses mains posées sur la table, fixant exactement entre les deux, tête baissée. D'autres jeunes mutants entrèrent, mais elle ne bougeait pas. Elle se demandait ce qui pouvait bien la retenir de lui sauter dessus, vite, très vite, trop vite pour la réincarnation de James Dean. Elle ne vit pas le garçon à la jupe consumer son pancake, elle réfléchissait. C'était pas glorieux de la part de celle qui se considérait comme une maîtresse de la répartie, mais ça valait mieux que tenter de l'étrangler.
Elle finit par décider de ne pas relever la proposition de bras-de-fer - *Mais de quelle planète il vient ce garçon pour avoir des idées pareilles ?* - et de réagir.
Et bien...
Elle frappa un grand coup sur la table, et se leva, puis, utilisant pour la première fois son pouvoir depuis des lustres, alla très vite se planter devant son cher camarade à l'insu de son plein gré.
Je dois dire que question rapidité j'ai quelques notions. Je doutes malheureusement que tu tiennes le rythme.
Ses yeux fixaient le regard de Iacobo - vingt centimètres plus haut, quoi.
C'est bien triste, parce que la douceur et le romantisme de ton hymne à la libération sexuelle m'avaient séduits.
Elle se demandait sérieusement quel était le but du bonhomme. Se faire détester par tout l'Institut ? Il était en passe de battre tous les records d'impopularité à tendance haineuse. Prouver qu'il existe, qu'il sort du lot ? Pour un mutant, c'est pas banal, même si coexister avec des semblables peut faire que l'on se sent moins puissant. Et quand on manque de puissance, pour se rassurer, quand on est un mec, y'a pas trente-six solutions...
*Oui, c'est peut-être ça...mais j'arrive pas à l'imaginer autrement, même au milieu d'une foule de monsieur tout-le-monde.*
Elle se doutait plus ou moins qu'il allait à un moment ou l'autre ramener sa fraise dans leur agréable petit trio - quadrio avec Alix - mais elle ne savait pas comment. Maintenant, elle était fixée. Elle garda ses mains posées sur la table, fixant exactement entre les deux, tête baissée. D'autres jeunes mutants entrèrent, mais elle ne bougeait pas. Elle se demandait ce qui pouvait bien la retenir de lui sauter dessus, vite, très vite, trop vite pour la réincarnation de James Dean. Elle ne vit pas le garçon à la jupe consumer son pancake, elle réfléchissait. C'était pas glorieux de la part de celle qui se considérait comme une maîtresse de la répartie, mais ça valait mieux que tenter de l'étrangler.
Elle finit par décider de ne pas relever la proposition de bras-de-fer - *Mais de quelle planète il vient ce garçon pour avoir des idées pareilles ?* - et de réagir.
Et bien...
Elle frappa un grand coup sur la table, et se leva, puis, utilisant pour la première fois son pouvoir depuis des lustres, alla très vite se planter devant son cher camarade à l'insu de son plein gré.
Je dois dire que question rapidité j'ai quelques notions. Je doutes malheureusement que tu tiennes le rythme.
Ses yeux fixaient le regard de Iacobo - vingt centimètres plus haut, quoi.
C'est bien triste, parce que la douceur et le romantisme de ton hymne à la libération sexuelle m'avaient séduits.
Elle se demandait sérieusement quel était le but du bonhomme. Se faire détester par tout l'Institut ? Il était en passe de battre tous les records d'impopularité à tendance haineuse. Prouver qu'il existe, qu'il sort du lot ? Pour un mutant, c'est pas banal, même si coexister avec des semblables peut faire que l'on se sent moins puissant. Et quand on manque de puissance, pour se rassurer, quand on est un mec, y'a pas trente-six solutions...
*Oui, c'est peut-être ça...mais j'arrive pas à l'imaginer autrement, même au milieu d'une foule de monsieur tout-le-monde.*
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Re: Par une belle journée de septembre
Ven 26 Oct 2007 - 15:09
La suite des évènements passa d'un coup très vite. Plusieurs personnes passèrent en coup de vent dans la cuisine. Parmis elles Mariann, qui l'avait saluée rapidement, avant de repartir en flêche, comme soulevée par ses petites ailes.
C'est alors que ce qu'elle redoutait le plus arriva. Non! Ce qu'elle redoutait le plus avait été de loin dépassé. Voila que l'espèce de gigolo proposait une activité de groupe plutot grivoise... Elle resta quelques secondes interdite, les yeux fixés sur le jeune homme, comme pour pouvoir découvrir d'où il débarquait, de Mars ou plus loin...
Tout ce qu'elle finit par trouver à dire fut:
"Heu...oui...salut Mariann!" Alors que cette dernière avait déja quitté la pièce depuis plusieurs minutes, et toujours sans arrêter de fixer le jeune homme.
C'est alors qu'Alixtide brisa le silence qui s'était installé. D'après ce qu'il disait, Jade n'eu pas l'impression qu'il était tout à fait contre l'idée, et cette pensée lui faisait écarquiller les yeux encore un peu plus.
De son côté, Camille semblait être en train de se concentrer pour ne pas gifler le gigolo. Puis en une fraction de secondes, elle avait disparu d'à côté de Jade, pour se retrouver face au jeune homme et lui dire sa façon de penser.
Jade se demandait bien comment allait réagir le garçon face à cette provocation. Elle était un peu déçue que l'option gifle n'ait pas été séléctionnée par Camille, mais ce n'était peut être pas plus mal! En tout cas, Jade de son côté, restait un peu bloquée. Ne sachant pas comment réagir, elle décida de quitter la pièce.
"Excusez moi, je dois y aller!" Dit elle, toute rouge
Quelque part...
[HJ: Désolé pour cette fin toute pourrie, mais comme à partir de tout à l'heure jusqu'à la fin de la semaine prochaine, je risquede ne pas me connecter, il fallait que je quitte le topic pour ne pas gêner ^^]
C'est alors que ce qu'elle redoutait le plus arriva. Non! Ce qu'elle redoutait le plus avait été de loin dépassé. Voila que l'espèce de gigolo proposait une activité de groupe plutot grivoise... Elle resta quelques secondes interdite, les yeux fixés sur le jeune homme, comme pour pouvoir découvrir d'où il débarquait, de Mars ou plus loin...
Tout ce qu'elle finit par trouver à dire fut:
"Heu...oui...salut Mariann!" Alors que cette dernière avait déja quitté la pièce depuis plusieurs minutes, et toujours sans arrêter de fixer le jeune homme.
C'est alors qu'Alixtide brisa le silence qui s'était installé. D'après ce qu'il disait, Jade n'eu pas l'impression qu'il était tout à fait contre l'idée, et cette pensée lui faisait écarquiller les yeux encore un peu plus.
De son côté, Camille semblait être en train de se concentrer pour ne pas gifler le gigolo. Puis en une fraction de secondes, elle avait disparu d'à côté de Jade, pour se retrouver face au jeune homme et lui dire sa façon de penser.
Jade se demandait bien comment allait réagir le garçon face à cette provocation. Elle était un peu déçue que l'option gifle n'ait pas été séléctionnée par Camille, mais ce n'était peut être pas plus mal! En tout cas, Jade de son côté, restait un peu bloquée. Ne sachant pas comment réagir, elle décida de quitter la pièce.
"Excusez moi, je dois y aller!" Dit elle, toute rouge
Quelque part...
[HJ: Désolé pour cette fin toute pourrie, mais comme à partir de tout à l'heure jusqu'à la fin de la semaine prochaine, je risquede ne pas me connecter, il fallait que je quitte le topic pour ne pas gêner ^^]
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Re: Par une belle journée de septembre
Ven 26 Oct 2007 - 22:41
après, que Gabrielle ait accepté de manger, Niko se sentit un peu mieux. à première vue, elle ne lui en voulait. il sen mit tranquillement dans son coin et commença à se goinfrer de pancake, tout en observant et en écoutant les conversation. il repondit discrètement au salut de Jo, mais fut attiré par la conversation de Jade et de cette Camille.
" Elle aussi peu courir vite? pfff! moi qui pensais être unique! tu parles! non seulement il est inutile, mais en plus, toi le monde à le même que moi" pensa t'il
Il finit tranquillement de manger et vit Jo se cacher sous la table. Il se dirigea vers lui et lui dit.
- Ca va?
" Elle aussi peu courir vite? pfff! moi qui pensais être unique! tu parles! non seulement il est inutile, mais en plus, toi le monde à le même que moi" pensa t'il
Il finit tranquillement de manger et vit Jo se cacher sous la table. Il se dirigea vers lui et lui dit.
- Ca va?
- Kitty WillingtonFac
- Age : 26
Equipe : JustiX
Nom de code : Spirit Flayer
Date d'inscription : 14/04/2007
Re: Par une belle journée de septembre
Sam 27 Oct 2007 - 0:46
Kitty arriva dans la cuisine. Elle regarda si Kim l'avait suivit. Des odeurs de pancakes flottait dans l'air. Kitty commençait à avoir faim. Elle regarda si River était dans la cuisine. Malheureusement non. Et cela attrista la petite fille. Elle aurait tellement voulut savoir comment avait réagit Wind et quand elles appelleraient les parents de Wood.
Elle remarqua qu'il y avait beaucoup de gens qu'elle ne connaissait pas présent dans la pièce. Sauf Alixtide et Camille. La fillette enta dans la pièce, salua tout le monde et se présenta,ses parents lui ayant apprit qu'il fallait toujours être poli.
"Bonjour tout le monde. Je m'appelle Kitty."
La petite fille avait parlé d'une petite voix. Elle se dirigea vers la table et s'installa près d'un jeune homme qui mangeait une espèce de bouillie bizarre. Elle prit un bol, attrapa des céréales aux chocolat et se servit. Elle prit deux pancakes sur lesquels elle mit de la marmelade et commença à déjeuner. Kitty n'avait pas vraiment envie de parler. Elle aurait tant voulu annoncer à Wood la bonne nouvelle qu'elle avait eu ce matin de la part de Gabriel. Une larme perla sur la joue de la fillette mais elle la chassa très vite. Elle avait promit d'être forte. Et elle tiendrait sa promesse.
Elle remarqua qu'il y avait beaucoup de gens qu'elle ne connaissait pas présent dans la pièce. Sauf Alixtide et Camille. La fillette enta dans la pièce, salua tout le monde et se présenta,ses parents lui ayant apprit qu'il fallait toujours être poli.
"Bonjour tout le monde. Je m'appelle Kitty."
La petite fille avait parlé d'une petite voix. Elle se dirigea vers la table et s'installa près d'un jeune homme qui mangeait une espèce de bouillie bizarre. Elle prit un bol, attrapa des céréales aux chocolat et se servit. Elle prit deux pancakes sur lesquels elle mit de la marmelade et commença à déjeuner. Kitty n'avait pas vraiment envie de parler. Elle aurait tant voulu annoncer à Wood la bonne nouvelle qu'elle avait eu ce matin de la part de Gabriel. Une larme perla sur la joue de la fillette mais elle la chassa très vite. Elle avait promit d'être forte. Et elle tiendrait sa promesse.
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Re: Par une belle journée de septembre
Sam 27 Oct 2007 - 0:58
Au moment ou Niko parla à Joachim, une enfant rentra dans la cuisine en se présentant doucement, Kitty... On ne sait jamais un nom de plus ça peut servir!
"Bah euh.... à part que j'ai encore eu un problème de nourriture disparate.... ça va! Par contre... tu pourrais me dire ce que je dois faire ce matin au niveau de l'administration et des cours ou autre?"
Joachim se releva donc.
"Bah euh.... à part que j'ai encore eu un problème de nourriture disparate.... ça va! Par contre... tu pourrais me dire ce que je dois faire ce matin au niveau de l'administration et des cours ou autre?"
Joachim se releva donc.
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Re: Par une belle journée de septembre
Sam 27 Oct 2007 - 1:08
Kim avait bien suivit Kitty. Bien qu'elle ait le sens de l'orientation, elle avait peur de se perdre, dans cette sorte de labyrinthe géant. Elles traversèrent quelques couloirs lorsqu'elles arrivèrent dans une pièce remplie de gens. Tous des grands... A par quelques uns. Enfin, tous mûr.
Kim se sentait "petite" par rappord à eux. Elle cherchait des yeux Nan et/ou Angel, peut-être l'équipe des X-rays. Non, rien. Elle ferait d'autres connaissances alors, ou du moins, essayerait.
"Bonjour..."Salua-t-elle, encore dans les vapes (juste un peu).
Elle suivit Kitty et prit aussi un bol. Puisque c'était sa première matinée ici, il fallait d'abord savoir que faire... Mais se servit un muesli. Elle mangea rapidement, et comme du lait restait au fond du bol, elle rajouta un peu de céréales dans le bol. C'était une habitude : elle n'aimait pas boire le lait tout seul.
Elle remarqua que plusieurs s'en allaient et que Kitty semblait triste. Une mélancolie lui traversait l'esprit et Kim préférait ne pas s'en meler.
Kim se sentait "petite" par rappord à eux. Elle cherchait des yeux Nan et/ou Angel, peut-être l'équipe des X-rays. Non, rien. Elle ferait d'autres connaissances alors, ou du moins, essayerait.
"Bonjour..."Salua-t-elle, encore dans les vapes (juste un peu).
Elle suivit Kitty et prit aussi un bol. Puisque c'était sa première matinée ici, il fallait d'abord savoir que faire... Mais se servit un muesli. Elle mangea rapidement, et comme du lait restait au fond du bol, elle rajouta un peu de céréales dans le bol. C'était une habitude : elle n'aimait pas boire le lait tout seul.
Elle remarqua que plusieurs s'en allaient et que Kitty semblait triste. Une mélancolie lui traversait l'esprit et Kim préférait ne pas s'en meler.
- InvitéInvité
Re: Par une belle journée de septembre
Sam 27 Oct 2007 - 10:38
Alixtide s’accrochait à son bol de café noir, dans le tourbillon de la cuisine. Il respirait avec bonheur les vapeurs de sa boisson, tandis qu’autour de lui tout bougeait plus vite que dans un champ d'astéroïdes. Camille n’était-elle pas une seconde auparavant à côté de Jade et Abaigh ? Eh bien maintenant, elle faisait connaissance avec le garçon bizarre, en toute amitié. Jade était partie sur ces entre faits, sûrement jalouse. Les filles sont toujours très jalouses les unes des autres, malgré le fait qu’elles complotent sans arrêt. Alixtide se dit que la petite dernière Abaigh devait se sentir totalement démunie à présent.
Camille était une fille sympa, selon lui. Une fois décollée de son groupe de jeunes furies, elle était toute différente et de très bonne compagnie.
Alixtide soupira de satisfaction, touillant un peu son bol. Il sourit en voyant Niko se pencher au secours du noiraud, qui avait perdu on ne savait quoi sous la table et qui semblait ne pas s’en remettre.
Déjà des pas résonnaient vers la cuisine, et de nouvelles têtes entraient. Alixtide remit les mains autour de son bol. Il ne se formalisait pas qu’on n’ait pas retenu son idée de bras de fer collectif. Après tout, ce n’était pas plus mal, car reprendre un jeu qui a été amusant dans un autre contexte n’amène bien souvent que nostalgie et déception.
« Bonjour Kitty, je m’appelle Alixtide. »
Dit-il avec une candeur enfantine à l’adresse de la malheureuse asthmatique, qui devait se sentir terriblement perdue au milieu de cette foule mouvante. Elle était heureusement accompagnée d’une fille venant du pays de Lyu. Il serait content de trouver une compatriote.
*Tiens il est où Lyu ce matin ? Bah je m’en fiche …*
Alixtide sortit sa chaussette du café et l’essora au dessus du bol. Il en voulait à son compagnon asiatique, ça c’était certain. Mais pourquoi déjà ? Il mit sa chaussette à sécher sur le bord de la table et se plongea dans la contemplation de son infusion, cherchant la réponse dans les reflets sombres du liquide.
*Le CIAM … Pfff …*
Camille était une fille sympa, selon lui. Une fois décollée de son groupe de jeunes furies, elle était toute différente et de très bonne compagnie.
Alixtide soupira de satisfaction, touillant un peu son bol. Il sourit en voyant Niko se pencher au secours du noiraud, qui avait perdu on ne savait quoi sous la table et qui semblait ne pas s’en remettre.
Déjà des pas résonnaient vers la cuisine, et de nouvelles têtes entraient. Alixtide remit les mains autour de son bol. Il ne se formalisait pas qu’on n’ait pas retenu son idée de bras de fer collectif. Après tout, ce n’était pas plus mal, car reprendre un jeu qui a été amusant dans un autre contexte n’amène bien souvent que nostalgie et déception.
« Bonjour Kitty, je m’appelle Alixtide. »
Dit-il avec une candeur enfantine à l’adresse de la malheureuse asthmatique, qui devait se sentir terriblement perdue au milieu de cette foule mouvante. Elle était heureusement accompagnée d’une fille venant du pays de Lyu. Il serait content de trouver une compatriote.
*Tiens il est où Lyu ce matin ? Bah je m’en fiche …*
Alixtide sortit sa chaussette du café et l’essora au dessus du bol. Il en voulait à son compagnon asiatique, ça c’était certain. Mais pourquoi déjà ? Il mit sa chaussette à sécher sur le bord de la table et se plongea dans la contemplation de son infusion, cherchant la réponse dans les reflets sombres du liquide.
*Le CIAM … Pfff …*
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