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- Kalalli RenandOnyX
- Age : 28
Equipe : OnyX
Nom de code : Razgriz
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Histoire de faire la loque...
Mar 14 Oct 2008 - 1:27
Jardin
Kalalli tuerait Daedalion, dans la cuisine, avec le chandelier, et sans l'aide du colonel moutarde ! C'était sa pensée en tout cas en rentrant dans le salon, heureusement peu peuplé. Il réprima cette stupide idée, il était incapable de faire du mal à une mouche, alors en venir aux mains avec quelqu'un...
Vincent était là, avec Amarenna. Le premier avait été dans son groupe le matin même dans la salle des dangers, mais il ne le connaissait pas trop. S'il était méchant aussi, il était sûr que la gentille jeune fille qui l'avait défendu plus tôt serait encore là.
L'air encore tristoune des paroles de Daedalion, l'Inuit vint s'asseoir dans un coin du fauteuil et prit un magazine qu'il commença à feuilleter distraitement.
Kalalli tuerait Daedalion, dans la cuisine, avec le chandelier, et sans l'aide du colonel moutarde ! C'était sa pensée en tout cas en rentrant dans le salon, heureusement peu peuplé. Il réprima cette stupide idée, il était incapable de faire du mal à une mouche, alors en venir aux mains avec quelqu'un...
Vincent était là, avec Amarenna. Le premier avait été dans son groupe le matin même dans la salle des dangers, mais il ne le connaissait pas trop. S'il était méchant aussi, il était sûr que la gentille jeune fille qui l'avait défendu plus tôt serait encore là.
L'air encore tristoune des paroles de Daedalion, l'Inuit vint s'asseoir dans un coin du fauteuil et prit un magazine qu'il commença à feuilleter distraitement.
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Mar 14 Oct 2008 - 12:35
Amy étouffa un petit rire amusé lorsque Vincent parla des Ostrogoths qui venaient de quitter la pièce. Sven, malgré son nom, n'avait rien d'un barbare. Il ressemblait, plutôt, à un doux dingue un peu Candide qui donnait, presque envie d'appartenir à son monde où tout semblait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais Amy ne releva pas. Peut-être Vincent avait-il plutôt parlé de deux autres personnes qui étaient sorties avant l'arrivée de la jeune femme. Cela était, après tout, fort possible également. Elle esquissa un sourire puis tourna un instant la tête vers la fenêtre avant de reporter ses prunelles noisettes sur le jeune homme.
"A moins que tu n'y tiennes vraiment, ce n'est peut-être pas la peine... Je doute que ressasser quelque chose qui semble t'avoir mis dans tous tes états te fasse réellement avancer..." fit-elle avec un clin d'oeil.
Comme pour marquer son accord au changement de sujet, Vincent lui demanda alors comment elle était arrivée à l'Institut et comment elle avait découvert son pouvoir. Deux questions pas réellement prises dans l'ordre. Pourtant, Amy y répondit avec bonne humeur, en les remettant dans le bon ordre.
"Ca fait six ans que je vis avec mes pouvoirs. Je les ai découvert par accident, dirons-nous... Mon père était alors en poste en Chine - Il est diplomate. Et mon petit frère, Micha n'avait que quatre ans. C'était une petite tête de mûle à l'époque et notre nourrice l'a giflé parce qu'il refusait de lui parler. Du moins, c'est ce que j'ai toujours pensé. Mais je le soupçonne d'avoir fait une grosse bêtise et d'avoir refusé de l'avouer. Quoiqu'il en soit, il a eu peur et s'est mis à pleurer. Et je suis passée par là. Devant mon petit frère qui pleurait et qui avait peur, mes... Ombres, je dirais, ont assailli la nourrice et ont failli l'étrangler."
Amy eut un sourire d'excuse et, joignant le geste à la parole, commença à rassembler quelques ombres de la pièce pour les faire sortir du sol en un simple nuage qui retomba bien vite.
"Voilà, en gros, mon pouvoir. Mon père m'a renvoyée en Amérique chez mes grands parents qui n'ont pas voulu de moi, j'ai passé quatre ans en pension et mes parents sont revenus en Amérique. Et dernièrement, j'ai rencontré une femme, dans la rue, qui m'a demandé de remercier ceux qui étaient à l'origine du sauvetage de sa fille et du candidat aux élections, McCuffrey. C'est à cause de ça, que je me trouve là. Et toi?"
Vincent répondit rapidement à la question. Il avait été engagé comme garde du corps? Amarenna haussa les sourcils de curiosité.
"Mais... En quoi consiste ton pouvoir?"
Kalalli pénétra alors dans la pièce, un petit air tristounet collé sur le visage. Etait-ce encore à cause du gros Niko? Ou bien y avait-il un autre origine à son chagrin? Quoiqu'il en soit, Amy lui adressa un signe de tête avec un sourire chaleureux et le suivit du regard alors qu'il allait s'asseoir dans un fauteuil pour feuilleter un journal.
*Je verrai après ce qui ne va pas...* songea la jeune femme.
"A moins que tu n'y tiennes vraiment, ce n'est peut-être pas la peine... Je doute que ressasser quelque chose qui semble t'avoir mis dans tous tes états te fasse réellement avancer..." fit-elle avec un clin d'oeil.
Comme pour marquer son accord au changement de sujet, Vincent lui demanda alors comment elle était arrivée à l'Institut et comment elle avait découvert son pouvoir. Deux questions pas réellement prises dans l'ordre. Pourtant, Amy y répondit avec bonne humeur, en les remettant dans le bon ordre.
"Ca fait six ans que je vis avec mes pouvoirs. Je les ai découvert par accident, dirons-nous... Mon père était alors en poste en Chine - Il est diplomate. Et mon petit frère, Micha n'avait que quatre ans. C'était une petite tête de mûle à l'époque et notre nourrice l'a giflé parce qu'il refusait de lui parler. Du moins, c'est ce que j'ai toujours pensé. Mais je le soupçonne d'avoir fait une grosse bêtise et d'avoir refusé de l'avouer. Quoiqu'il en soit, il a eu peur et s'est mis à pleurer. Et je suis passée par là. Devant mon petit frère qui pleurait et qui avait peur, mes... Ombres, je dirais, ont assailli la nourrice et ont failli l'étrangler."
Amy eut un sourire d'excuse et, joignant le geste à la parole, commença à rassembler quelques ombres de la pièce pour les faire sortir du sol en un simple nuage qui retomba bien vite.
"Voilà, en gros, mon pouvoir. Mon père m'a renvoyée en Amérique chez mes grands parents qui n'ont pas voulu de moi, j'ai passé quatre ans en pension et mes parents sont revenus en Amérique. Et dernièrement, j'ai rencontré une femme, dans la rue, qui m'a demandé de remercier ceux qui étaient à l'origine du sauvetage de sa fille et du candidat aux élections, McCuffrey. C'est à cause de ça, que je me trouve là. Et toi?"
Vincent répondit rapidement à la question. Il avait été engagé comme garde du corps? Amarenna haussa les sourcils de curiosité.
"Mais... En quoi consiste ton pouvoir?"
Kalalli pénétra alors dans la pièce, un petit air tristounet collé sur le visage. Etait-ce encore à cause du gros Niko? Ou bien y avait-il un autre origine à son chagrin? Quoiqu'il en soit, Amy lui adressa un signe de tête avec un sourire chaleureux et le suivit du regard alors qu'il allait s'asseoir dans un fauteuil pour feuilleter un journal.
*Je verrai après ce qui ne va pas...* songea la jeune femme.
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Mar 14 Oct 2008 - 16:42
La discussion s'installa et un sujet était plus approfondit, a savoir celui sur les pouvoirs, qui justement posait un gros problème a Vincent qui n'arrivait pas a faire cette transition mutation-pouvoir.
Mais a la vue de cette jeune femme qui fit une démonstration en pleine après midi, hors contexte de survie fut une expérience toute nouvelle pour le boxeur qui n'imaginait pas qu'on puisse faire un tel étalage d'une originalité si taboue et inexplicable dans le monde extérieur.
Il put également apprécie une nouvelle facette de pouvoir qu'il n'avait pas vu dans les entrainements de la matinée.
Ouah, je vois que tu es passée par des épreuves bien plus difficiles que moi pour l'émergence de ton pouvoir, qui d'ailleurs est assez impressionnant je dois dire.
Amarrenna ne cessait de mêler des gestes a ses paroles, souvent a l'aide de clins d'oeil et autres artifices qui ne laissaient pas Vincent indifférent.
Mon pouvoir, et bien il est plus facilement camouflable, mais comme tu semble receptive a l'illustration, je vais te demandé de toucher mon bras et d'essayer de le serrer a plusieurs reprises.
La jeune femme s'exécuta, et Notre jeune homme eut ainsi le plaisir de sentir les effluves parfumées de son interlocutrice qui, surement involontairement, faisait un numéro de charme des plus probant. Vincent pu tour a tour et à loisir durcir son avant bras pour que sa peau perde tout potentiel élastique lors de la pression des doigts expérimentateurs, et séparer ses molécules pour rendre son poignet similigazeux.
Ce pouvoir est assimilité a du transphasing, je peux remodeler mon corp en chageant de phases et de dureté.
A ces mots Kalalli fit une apparition, Vincent l'avait cotoyé lors du cours du matin. Bien qu'il n'eut pas le temps d'avoir réellement fait connaissance avec cet homme, il arborait un visage plus souriant et avenant, et il parassait évident que sa mine triste était apparu dans l'après midi, la conclusion était qu'un désagrément venait de lui arriver.
Se refusant a briser la promiscuité entre lui et Amarenna, Vincent s'adressa a l'inuit depuis sa position.
Kalalli, qu'est ce qui t'arrives? tu n'avais pas cet air désabusé ce matin.
Mais a la vue de cette jeune femme qui fit une démonstration en pleine après midi, hors contexte de survie fut une expérience toute nouvelle pour le boxeur qui n'imaginait pas qu'on puisse faire un tel étalage d'une originalité si taboue et inexplicable dans le monde extérieur.
Il put également apprécie une nouvelle facette de pouvoir qu'il n'avait pas vu dans les entrainements de la matinée.
Ouah, je vois que tu es passée par des épreuves bien plus difficiles que moi pour l'émergence de ton pouvoir, qui d'ailleurs est assez impressionnant je dois dire.
Amarrenna ne cessait de mêler des gestes a ses paroles, souvent a l'aide de clins d'oeil et autres artifices qui ne laissaient pas Vincent indifférent.
Mon pouvoir, et bien il est plus facilement camouflable, mais comme tu semble receptive a l'illustration, je vais te demandé de toucher mon bras et d'essayer de le serrer a plusieurs reprises.
La jeune femme s'exécuta, et Notre jeune homme eut ainsi le plaisir de sentir les effluves parfumées de son interlocutrice qui, surement involontairement, faisait un numéro de charme des plus probant. Vincent pu tour a tour et à loisir durcir son avant bras pour que sa peau perde tout potentiel élastique lors de la pression des doigts expérimentateurs, et séparer ses molécules pour rendre son poignet similigazeux.
Ce pouvoir est assimilité a du transphasing, je peux remodeler mon corp en chageant de phases et de dureté.
A ces mots Kalalli fit une apparition, Vincent l'avait cotoyé lors du cours du matin. Bien qu'il n'eut pas le temps d'avoir réellement fait connaissance avec cet homme, il arborait un visage plus souriant et avenant, et il parassait évident que sa mine triste était apparu dans l'après midi, la conclusion était qu'un désagrément venait de lui arriver.
Se refusant a briser la promiscuité entre lui et Amarenna, Vincent s'adressa a l'inuit depuis sa position.
Kalalli, qu'est ce qui t'arrives? tu n'avais pas cet air désabusé ce matin.
- Kalalli RenandOnyX
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Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Histoire de faire la loque...
Mar 14 Oct 2008 - 20:11
Vincent avait l'air de discuter de son pouvoir avec Amarenna. Kala l'avait déjà vu à l'oeuvre le matin même, donc il l'entendit distraitement expliquer sa capacité.
Bizarrement, c'est l'homme qui lui adressa la parole le premier. "Un air désabusé" ? Déprimé aurait été plus rigoureux. Il se sentait totalement inutile dans toutes les situations. Même en présence de personnes sur qui appliquer une quelconque illusion, il ne pouvait que modifier très légèrement leur vision de ce qui les entourait... Autant dire que ce n'était jamais très pratique. Alors, quand il n'y avait pas d'homme, il était complètement inutile, voir même un boulet, comme lui avait si bien fait remarqué Niko.
L'Inuit hésita sur la réponse à donner. Il était plus en confiance avec la jeune femme qu'avec Vincent. Il n'avait donc pas tellement envie d'en discuter avec quelqu'un d'autre. Finalement, il lâcha quand même, pour ne pas paraître désagréable (car c'était la dernière chose qu'il voulait) :
" Je sers à rien... En mission, j'ai rarement l'occasion d'utiliser mon pouvoir et si c'est le cas, je sais rien faire..."
Tout était dit et résumé précisément. Pas besoin d'en dire davantage.
Bizarrement, c'est l'homme qui lui adressa la parole le premier. "Un air désabusé" ? Déprimé aurait été plus rigoureux. Il se sentait totalement inutile dans toutes les situations. Même en présence de personnes sur qui appliquer une quelconque illusion, il ne pouvait que modifier très légèrement leur vision de ce qui les entourait... Autant dire que ce n'était jamais très pratique. Alors, quand il n'y avait pas d'homme, il était complètement inutile, voir même un boulet, comme lui avait si bien fait remarqué Niko.
L'Inuit hésita sur la réponse à donner. Il était plus en confiance avec la jeune femme qu'avec Vincent. Il n'avait donc pas tellement envie d'en discuter avec quelqu'un d'autre. Finalement, il lâcha quand même, pour ne pas paraître désagréable (car c'était la dernière chose qu'il voulait) :
" Je sers à rien... En mission, j'ai rarement l'occasion d'utiliser mon pouvoir et si c'est le cas, je sais rien faire..."
Tout était dit et résumé précisément. Pas besoin d'en dire davantage.
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Mar 14 Oct 2008 - 20:23
"Tu sais, mon pouvoir n'est pas si impressionnant que ça..." répondit Amy en riant.
En fait, ces deux dernières années, elle s'en était surtout servi pour faire rire son petit frère lorsqu'il était malade en créant des ombres chinoises. C'était amusant et, surtout, ça lui permettait de s'entraîner sans risquer de blesser quelqu'un.
"C'est juste qu'il ne faut pas qu'on fasse du mal à Micha. A ce moment-là, je deviens une tigresse. Je mors, et... Je perds contrôle. Mais depuis, je me suis entraînée..." ajouta-t-elle.
Vincent l'invita alors à lui prendre le bras pour faire une démonstration de son pouvoir. Sourcils légèrement froncés à cause de la surprise, Amarenna s'empressa cependant d'obtempérer. Il ne fallait pas non plus vexer le jeune homme. Ca aurait été dommage... Elle lui prit donc le bras et sentit celui-ci se durcir, tout d'abord, avant de devenir intangible, laissant la main de la jeune femme se refermer sur le vide. Celle-ci enleva bien rapidement sa main, non pas peur du jeune homme, mais par crainte de lui faire mal si son bras reprenait consistance normale alors qu'Amy était toujours dans la même position. Après tout, un bras transpercé d'une main, ça ne devait pas faire forcément du bien - .
"C'est impressionnant, en tout cas..." répondit Amy en se reculant de quelques pas.
En effet, si la promiscuité ne semblait pas déranger Vincent, ça n'était pas tout à fait le cas d'Amy. Mais elle resta tout de même relativement près.
"En tout cas, ça doit être bien pratique, pour éviter les coups ou autre... Mais... Tu peux le faire sur d'autres personnes, aussi?" demanda-t-elle alors par curiosité.
Vincent se tourna alors vers Kalalli pour lui demander ce qui n'allait pas. Etait-ce toujours cette histoire avec Niko? A cette idée, Amy serra le poing. Pour le coup, elle aurait bien emprunté le pouvoir de Vincent pour aller coller un poing dur comme de l'acier dans le ventre de l'obèse. D'ailleurs, lorsque le jeune garçon répondit, l'envie qu'avait Amy de faire avaler sa langue à Bullet se fit encore plus forte.
"Kala, on a tous commencé un jour avec notre pouvoir. Et tu sais, mieux vaut un pouvoir qui ne peut faire de mal à personne qu'un pouvoir avec lequel tu peux tuer. C'est dur de vivre avec ça sur la conscience. Et nous sommes ici pour apprendre à contrôler nos pouvoirs, pour ne pas être des dangers pour les gens. Pas pour les attaquer... Si?"
S'éloignant de Vincent, elle s'approcha du siège du jeune garçon devant lequel elle s'accroupit posant simplement ses mains sur les genoux de Kalalli pour le réconforter.
"Si c'est à cause de Niko, encore, il ne faut pas faire attention. Je t'assure. tu crois qu'il est utile, lui? Avec toute sa graisse?" fit-elle avec un sourire avant de passer une main taquine dans les cheveux de l'inuit pour les lui ébouriffer, comme elle avait fait un peu plus tôt dans le jardin.
En fait, ces deux dernières années, elle s'en était surtout servi pour faire rire son petit frère lorsqu'il était malade en créant des ombres chinoises. C'était amusant et, surtout, ça lui permettait de s'entraîner sans risquer de blesser quelqu'un.
"C'est juste qu'il ne faut pas qu'on fasse du mal à Micha. A ce moment-là, je deviens une tigresse. Je mors, et... Je perds contrôle. Mais depuis, je me suis entraînée..." ajouta-t-elle.
Vincent l'invita alors à lui prendre le bras pour faire une démonstration de son pouvoir. Sourcils légèrement froncés à cause de la surprise, Amarenna s'empressa cependant d'obtempérer. Il ne fallait pas non plus vexer le jeune homme. Ca aurait été dommage... Elle lui prit donc le bras et sentit celui-ci se durcir, tout d'abord, avant de devenir intangible, laissant la main de la jeune femme se refermer sur le vide. Celle-ci enleva bien rapidement sa main, non pas peur du jeune homme, mais par crainte de lui faire mal si son bras reprenait consistance normale alors qu'Amy était toujours dans la même position. Après tout, un bras transpercé d'une main, ça ne devait pas faire forcément du bien - .
"C'est impressionnant, en tout cas..." répondit Amy en se reculant de quelques pas.
En effet, si la promiscuité ne semblait pas déranger Vincent, ça n'était pas tout à fait le cas d'Amy. Mais elle resta tout de même relativement près.
"En tout cas, ça doit être bien pratique, pour éviter les coups ou autre... Mais... Tu peux le faire sur d'autres personnes, aussi?" demanda-t-elle alors par curiosité.
Vincent se tourna alors vers Kalalli pour lui demander ce qui n'allait pas. Etait-ce toujours cette histoire avec Niko? A cette idée, Amy serra le poing. Pour le coup, elle aurait bien emprunté le pouvoir de Vincent pour aller coller un poing dur comme de l'acier dans le ventre de l'obèse. D'ailleurs, lorsque le jeune garçon répondit, l'envie qu'avait Amy de faire avaler sa langue à Bullet se fit encore plus forte.
"Kala, on a tous commencé un jour avec notre pouvoir. Et tu sais, mieux vaut un pouvoir qui ne peut faire de mal à personne qu'un pouvoir avec lequel tu peux tuer. C'est dur de vivre avec ça sur la conscience. Et nous sommes ici pour apprendre à contrôler nos pouvoirs, pour ne pas être des dangers pour les gens. Pas pour les attaquer... Si?"
S'éloignant de Vincent, elle s'approcha du siège du jeune garçon devant lequel elle s'accroupit posant simplement ses mains sur les genoux de Kalalli pour le réconforter.
"Si c'est à cause de Niko, encore, il ne faut pas faire attention. Je t'assure. tu crois qu'il est utile, lui? Avec toute sa graisse?" fit-elle avec un sourire avant de passer une main taquine dans les cheveux de l'inuit pour les lui ébouriffer, comme elle avait fait un peu plus tôt dans le jardin.
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Mar 14 Oct 2008 - 21:48
La belle Amarenna alla rapidement rejoindre le pauvre Kalalli qui semblait réellement dans une sombre période, et elle se livrait a des gestes d'affection pour lui remonter le moral.
Par pur égoïsme, Vincent éprouvait de la jalousie de n'avoir pas réussit a obtenir ces gestes pour lui même. Mais la compasion et l'altruisme était 2 qualités que possédait le boweur et qui prirent rapidement le pas sur ce vilain défaut exprimé au premier moment.
Inozzager s'approcha donc également de l'inuit qui s'enlisait dans son estimation négative.
Oh ne t'en fais pas Kali, je donnerais beaucoup pour avoir un pouvoir moins voyant pour ma part, et tu es également a l'abri des "dérapages" lié a une certaine puissance que tu ne controlerais pas.
Pour ma part, j'ai pu t'observé en coursce matin, et ut es loin d'être inutile, tu as survecu a toutes les épreuves et nous a permis d'avancer au plus vite, tu n'as donc pas été un boulet.
De plus, j'ai a plusieurs reprises hésité a te demandé, lors de mes moments de doutes, de me faire de la persuation mentale pour que je ne gache pas une chance d'agir.
Vincent parla en toute honnèteté, et c'était un des moteurs de sa force de persuation, il espérait remonté le moral de cet homme, malgré la rivalité pour les graces de la demoiselle présente.
Par pur égoïsme, Vincent éprouvait de la jalousie de n'avoir pas réussit a obtenir ces gestes pour lui même. Mais la compasion et l'altruisme était 2 qualités que possédait le boweur et qui prirent rapidement le pas sur ce vilain défaut exprimé au premier moment.
Inozzager s'approcha donc également de l'inuit qui s'enlisait dans son estimation négative.
Oh ne t'en fais pas Kali, je donnerais beaucoup pour avoir un pouvoir moins voyant pour ma part, et tu es également a l'abri des "dérapages" lié a une certaine puissance que tu ne controlerais pas.
Pour ma part, j'ai pu t'observé en coursce matin, et ut es loin d'être inutile, tu as survecu a toutes les épreuves et nous a permis d'avancer au plus vite, tu n'as donc pas été un boulet.
De plus, j'ai a plusieurs reprises hésité a te demandé, lors de mes moments de doutes, de me faire de la persuation mentale pour que je ne gache pas une chance d'agir.
Vincent parla en toute honnèteté, et c'était un des moteurs de sa force de persuation, il espérait remonté le moral de cet homme, malgré la rivalité pour les graces de la demoiselle présente.
- Kalalli RenandOnyX
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Equipe : OnyX
Nom de code : Razgriz
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: Histoire de faire la loque...
Mer 15 Oct 2008 - 0:09
Amarenna l'avait tout de suite réconforté, comme lorsqu'il était sorti de la cuisine. Elle avança l'argument que son pouvoir était non offensif, ce qui était une chance. Sans doute, mais il était donc parfois moins utile, quoique plus subtil .
Il sourit lorsqu'elle posa ses mains sur se genoux, un peu surpris et peut être un peu gêné, mais surtout heureux. C'était la première fois que quelqu'un ici s'intéressait autant à lui et lui témoignait de l'affection. Il en était ému et ce qui était sûr, c'est que ça lui faisait vraiment plaisir. Elle lui passa à nouveau les mains dans les cheveux pour l'ébouriffer et sans se retenir, il ricana. Malgré tout, les paroles des deux garçons lui trottaient dans la tête.
" C'est pas Niko... C'est Daedalion cette fois... Il a dit que je servais à rien et que j'avais été un boulet ce matin... Comme Niko avait dit... " avoua-t-il en se recoiffant rapidement d'un coup de main.
Vincent aussi vint le réconforter. Le pouvoir de l'Inuit était pour lui moins voyant. C'était vrai, mais les dérapages seraient possibles à plus haut niveau. Autre argument : il avait survécu. Surprenant.
" En même temps, faudrait vraiment être nul pour mourir en simulation... lâcha-t-il un sourire en coin. Mais je ne suis pas capable de te persuader de quoi que ce soit autrement que par les mots..."
Il n'avait pas l'air d'avoir bien saisit le pouvoir de Kalalli. Peut être était-ce une preuve qu'il n'était vraiment pas voyant, et donc qu'il ne savait pas s'en servir ? Malgré tout, il redressa les yeux vers Amarenna et lui sourit en plantant son regard dans le sien. Il avait une folle envie de l'étreindre. Il en avait besoin. La jeune femme semblait très compréhensive, comme une grande sœur qu'il n'avait jamais eu.
Investi d'un courage qu'il ne se connaissait pas, et peut être d'un brin de folie euphorique d'avoir trouvé quelqu'un en qui il pouvait avoir confiance, il ouvra ses bras et enlaça Amarenna, plaçant sa tête dans son cou en lâchant un petit " Merci... "
Il sourit lorsqu'elle posa ses mains sur se genoux, un peu surpris et peut être un peu gêné, mais surtout heureux. C'était la première fois que quelqu'un ici s'intéressait autant à lui et lui témoignait de l'affection. Il en était ému et ce qui était sûr, c'est que ça lui faisait vraiment plaisir. Elle lui passa à nouveau les mains dans les cheveux pour l'ébouriffer et sans se retenir, il ricana. Malgré tout, les paroles des deux garçons lui trottaient dans la tête.
" C'est pas Niko... C'est Daedalion cette fois... Il a dit que je servais à rien et que j'avais été un boulet ce matin... Comme Niko avait dit... " avoua-t-il en se recoiffant rapidement d'un coup de main.
Vincent aussi vint le réconforter. Le pouvoir de l'Inuit était pour lui moins voyant. C'était vrai, mais les dérapages seraient possibles à plus haut niveau. Autre argument : il avait survécu. Surprenant.
" En même temps, faudrait vraiment être nul pour mourir en simulation... lâcha-t-il un sourire en coin. Mais je ne suis pas capable de te persuader de quoi que ce soit autrement que par les mots..."
Il n'avait pas l'air d'avoir bien saisit le pouvoir de Kalalli. Peut être était-ce une preuve qu'il n'était vraiment pas voyant, et donc qu'il ne savait pas s'en servir ? Malgré tout, il redressa les yeux vers Amarenna et lui sourit en plantant son regard dans le sien. Il avait une folle envie de l'étreindre. Il en avait besoin. La jeune femme semblait très compréhensive, comme une grande sœur qu'il n'avait jamais eu.
Investi d'un courage qu'il ne se connaissait pas, et peut être d'un brin de folie euphorique d'avoir trouvé quelqu'un en qui il pouvait avoir confiance, il ouvra ses bras et enlaça Amarenna, plaçant sa tête dans son cou en lâchant un petit " Merci... "
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Mer 15 Oct 2008 - 0:27
Vincent, après un moment de flottement vint à son tour prodiguer des paroles qui se voulaient réconfortantes au jeune garçon qui se trouvait dans le fauteuil devant elle. Les mots étaient, certes, maladroits, mais ils étaient là, et c'était le plus important du moins aux yeux de la jeune femme. Celle-ci, d'ailleurs, fronça les sourcils lorsque Kalalli avoua que ce n'était cette fois pas Niko mais Deadalion. Deadalion, Deadalion... Elle se tourna vers Vincent.
"Toi qui es là depuis plus longtemps que moi... Tu vois qui c'est, Deadalion?"
Amarenna ou comment mettre les pieds dans le plat. Elle ignorait, en effet, totalement que Deadalion était déjà celui qui avait été à l'origine de l'emportement de Vincent quelques instants seulement avant son arrivée dans le foyer. Quoiqu'il en soit, la jeune femme se retourna vers Kalalli et s'assit sur l'accoudoir du fauteuil de l'enfant.
"Faut pas faire attention, à tous ces gens... Ils s'en prennent à toi parce que tu es plus petit qu'eux et donc moins puissant... Mais je suis sûr que bientôt, tu pourras leur faire payer au centuple ce qu'il t'ont fait subir. Il ne faut juste, pas y prêter attention pour l'instant."
Elle se pencha à l'oreille de Kalalli, et ajouta assez fort pour que Vincent puisse l'entendre:
"La meilleure des défenses est le mépris. Si ce qu'ils te disent n'a aucun effet sur toi, ils arrêteront vite..."
Alors que Kalalli répondait à Vincent, Amy observa tour à tour ses deux compagnons de conversation. Vincent, un peu plus grand qu'elle, qui semblait solide comme un roc et Kalalli, plus jeune qu'elle qui semblait fragile. Elle-même avait une apparence fragile, elle le savait bien, même si elle avait une grande force intérieur. Toutefois, elle fut surprise par un geste de Kalalli qu'elle ne put anticiper. Lorsque l'enfant se jeta dans ses bras, elle se retrouva tout d'abord interdite mais referma rapidement ses bras autour des épaules de l'inuit.
"C'est normal..." répondit-elle simplement tout en tournant la tête vers Vincent, l'air de dire: j'ai fait quoi de spécial?
D'une certaine façon, pourtant, elle le savait, ce qu'elle avait fait. Elle avait été là, agissant comme la grande soeur qu'elle était avant de venir. Elle était là pour un enfant qui avait besoin de réconfort. Elle revint, pourtant, sur les paroles de Kalalli.
"Tu ne peux peut-être pas encore influer sur les personnes, mais dans quelques temps, ton pouvoir d'illusions te permettra de leur faire voir des choses qui ne sont pas forcément, et tu pourras ainsi leur permettre d'agir autrement..."
Son explication était floue, pourtant, elle ne doutait pas de se faire comprendre par le Kozax.
"Toi qui es là depuis plus longtemps que moi... Tu vois qui c'est, Deadalion?"
Amarenna ou comment mettre les pieds dans le plat. Elle ignorait, en effet, totalement que Deadalion était déjà celui qui avait été à l'origine de l'emportement de Vincent quelques instants seulement avant son arrivée dans le foyer. Quoiqu'il en soit, la jeune femme se retourna vers Kalalli et s'assit sur l'accoudoir du fauteuil de l'enfant.
"Faut pas faire attention, à tous ces gens... Ils s'en prennent à toi parce que tu es plus petit qu'eux et donc moins puissant... Mais je suis sûr que bientôt, tu pourras leur faire payer au centuple ce qu'il t'ont fait subir. Il ne faut juste, pas y prêter attention pour l'instant."
Elle se pencha à l'oreille de Kalalli, et ajouta assez fort pour que Vincent puisse l'entendre:
"La meilleure des défenses est le mépris. Si ce qu'ils te disent n'a aucun effet sur toi, ils arrêteront vite..."
Alors que Kalalli répondait à Vincent, Amy observa tour à tour ses deux compagnons de conversation. Vincent, un peu plus grand qu'elle, qui semblait solide comme un roc et Kalalli, plus jeune qu'elle qui semblait fragile. Elle-même avait une apparence fragile, elle le savait bien, même si elle avait une grande force intérieur. Toutefois, elle fut surprise par un geste de Kalalli qu'elle ne put anticiper. Lorsque l'enfant se jeta dans ses bras, elle se retrouva tout d'abord interdite mais referma rapidement ses bras autour des épaules de l'inuit.
"C'est normal..." répondit-elle simplement tout en tournant la tête vers Vincent, l'air de dire: j'ai fait quoi de spécial?
D'une certaine façon, pourtant, elle le savait, ce qu'elle avait fait. Elle avait été là, agissant comme la grande soeur qu'elle était avant de venir. Elle était là pour un enfant qui avait besoin de réconfort. Elle revint, pourtant, sur les paroles de Kalalli.
"Tu ne peux peut-être pas encore influer sur les personnes, mais dans quelques temps, ton pouvoir d'illusions te permettra de leur faire voir des choses qui ne sont pas forcément, et tu pourras ainsi leur permettre d'agir autrement..."
Son explication était floue, pourtant, elle ne doutait pas de se faire comprendre par le Kozax.
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Mer 15 Oct 2008 - 2:15
Toujours aussi impuissant, Vincent voayait ses arguments agir aussi efficacement qu'une poule unijambiste dans un sprint de guépards.
Après cette tentative peu convainquant, Vincent préféra rester spectateur de la scêne, et la complainte se poursuivant, il apprit alors que daedalion était a nouveau a l'origine de cette déprime.
Puis vint la question posée par Amy a laquelle il répondit.
Oui je le connais un peu ce mec, c'est avec lui que j'ai eu moi aussi le petit accrochage, je le savais pas capable de dégouter autant de gens en une seule après midi, c'est a se demander si ce n'est pas ça son pouvoir de mutant.
Puis il assista, non sans une jalousie certaine, au geste affectueux tenté par le jeune homme et que la belle Amarenna ne put anticipé, elle chercha du regard celui de Vincent et le questionna sur cet acte.
En lui même le jalou pensa :
* Ah, j'ai du mal a croire que tu ne sais pas ce que tu as fait Amy, ne pas prendre conscience de ton charme est réellement incroyable. Bravo Kali, tu profites de ta situation, bonne stratégie, a charge de revanche *
Mais de cette pensée extrêmement nombriliste et peu objective ne ressortis qu'un simple geste, une main posé sur l'une des épaules de la jeune femme, comme pour lui signifier qu'il ne fallait pas chercher a comprendre le pourquoi, mais plutôt de profiter de l'effet bénéfique pour le jeune Kali.
Mais malgré cet aparté de technique de drague, Vincent se sentait toujours aussi inutile, et cette situation l'insupportait, retirant sa main du contact d'Amy et la passant dans brièvement dans les cheveux de l'inuit en signe de volonté d'aide, il dît:
Certes le mépris est surement une bonne stratégie, mais je ne supporte ni l'inactivité, ni l'impuissance, par conséquent, j'espère que mon geste sera compris, au moins par vous.
Je vais mettre une branlée a ce connard.
On pouvait sentir la tension monté dans le corp de Vincent qui contractait ses muscles en guise d'échauffement, puis il se dirigea vers la sortie qui menait au jardin.
Après cette tentative peu convainquant, Vincent préféra rester spectateur de la scêne, et la complainte se poursuivant, il apprit alors que daedalion était a nouveau a l'origine de cette déprime.
Puis vint la question posée par Amy a laquelle il répondit.
Oui je le connais un peu ce mec, c'est avec lui que j'ai eu moi aussi le petit accrochage, je le savais pas capable de dégouter autant de gens en une seule après midi, c'est a se demander si ce n'est pas ça son pouvoir de mutant.
Puis il assista, non sans une jalousie certaine, au geste affectueux tenté par le jeune homme et que la belle Amarenna ne put anticipé, elle chercha du regard celui de Vincent et le questionna sur cet acte.
En lui même le jalou pensa :
* Ah, j'ai du mal a croire que tu ne sais pas ce que tu as fait Amy, ne pas prendre conscience de ton charme est réellement incroyable. Bravo Kali, tu profites de ta situation, bonne stratégie, a charge de revanche *
Mais de cette pensée extrêmement nombriliste et peu objective ne ressortis qu'un simple geste, une main posé sur l'une des épaules de la jeune femme, comme pour lui signifier qu'il ne fallait pas chercher a comprendre le pourquoi, mais plutôt de profiter de l'effet bénéfique pour le jeune Kali.
Mais malgré cet aparté de technique de drague, Vincent se sentait toujours aussi inutile, et cette situation l'insupportait, retirant sa main du contact d'Amy et la passant dans brièvement dans les cheveux de l'inuit en signe de volonté d'aide, il dît:
Certes le mépris est surement une bonne stratégie, mais je ne supporte ni l'inactivité, ni l'impuissance, par conséquent, j'espère que mon geste sera compris, au moins par vous.
Je vais mettre une branlée a ce connard.
On pouvait sentir la tension monté dans le corp de Vincent qui contractait ses muscles en guise d'échauffement, puis il se dirigea vers la sortie qui menait au jardin.
- Kalalli RenandOnyX
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Re: Histoire de faire la loque...
Mer 15 Oct 2008 - 2:33
L'étreinte était vraiment agréable. Il n'avait pas eu l'occasion de sentir quelqu'un contre lui depuis les deux derniers mois passés à l'institut. Il sentit son mal-être se dissiper rapidement. Il n'était plus seul.
Vincent passa également sa main dans les cheveux de Kala. Il avait vraiment l'air gentil ! Il se sentait si bien ! S'il s'était écouté, il serait resté blottit encore quelques minutes mais ce n'était pas décent et Amarenna était sûrement mal à l'aise.
Il se retira en ayant une petite moue gênée pour la jeune fille alors que le boxeur comptait aller mettre une dérouillée au dit Daedalion qui avait apparemment déjà mis à sa sauce Vincent peu de temps avant. L'Inuit le rattrapa par le bras pour le retenir :
" Non s'il te plaît, ne fais pas ça. Il y a eu assez de violence pour aujourd'hui, même si elle n'a été que verbale. Ca servira à rien de toute façon, il restera pareil... "et rajouta, pour calmer Vincent " Merci d'avoir été là... Je me sens moins seul maintenant."
Vincent passa également sa main dans les cheveux de Kala. Il avait vraiment l'air gentil ! Il se sentait si bien ! S'il s'était écouté, il serait resté blottit encore quelques minutes mais ce n'était pas décent et Amarenna était sûrement mal à l'aise.
Il se retira en ayant une petite moue gênée pour la jeune fille alors que le boxeur comptait aller mettre une dérouillée au dit Daedalion qui avait apparemment déjà mis à sa sauce Vincent peu de temps avant. L'Inuit le rattrapa par le bras pour le retenir :
" Non s'il te plaît, ne fais pas ça. Il y a eu assez de violence pour aujourd'hui, même si elle n'a été que verbale. Ca servira à rien de toute façon, il restera pareil... "et rajouta, pour calmer Vincent " Merci d'avoir été là... Je me sens moins seul maintenant."
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Mer 15 Oct 2008 - 11:51
Deadalion, Kalalli, Deadalion, Vincent... Les choses se mettaient en place dans l'esprit de la jeune femme. Vraisemblablement, ce Deadalion n'était pas réellement du genre sociable. Bon. En même temps, il en fallait partout, des gens comme ça. Et, si l'on était en droit d'espérer qu'entre mutants on se serrait les coudes, visiblement, ça n'était pas réellement le cas dans l'esprit de tout le monde. Mais dans toute communauté il y avait des gens qui agissaient de cette façon. C'était utopiste de croire que tout le monde pouvait s'entendre avec tout le monde. Malheureusement. Il fallait faire avec. Et, surtout, il fallait relativiser.
L'étreinte avec l'inuit se prolongea quelques instants tandis que Vincent répondit à son regard interrogateur par une simple main posée sur son épaule, ignorant tout des pensées qui habitaient Vincent. Finalement, l'enfant se retira peu de temps après que le français eut enlevé sa main de son épaule. Ce dernier déclara alors vouloir remettre les pendules à l'heure de ce Deadalion. Kalalli fut plus prompt qu'Amy à réagir, mais celle-ci se releva cependant rapidement posant à son tour sa main sur l'épaule de Vincent.
"Il ne mérite même pas que tu lui porte attention. C'est ce qu'il cherche. Attirer à lui la haine pour ensuite se faire plaindre et agir en martyr. Il y a sans doute en lui une part de jalousie, de ne pouvoir ainsi se mêler aux autres. Il y a des gens comme lui partout dans le monde. Et rien ne les fera changer, si ce n'est grandir."
Elle marqua un petit temps de silence, puis ajouta, taquine:
"Dites donc, les garçons... Vous avez besoin d'apprendre un peu le self-controle!"
Elle redevint, cependant, plus sérieuse en repensant au repas que préparait sa coéquipière.
"Je pense que vous avez surtout besoin de manger pour vous calmer, là... Direction la cuisine, plutôt... J'ai pas envie de jouer les arbitres..."
L'étreinte avec l'inuit se prolongea quelques instants tandis que Vincent répondit à son regard interrogateur par une simple main posée sur son épaule, ignorant tout des pensées qui habitaient Vincent. Finalement, l'enfant se retira peu de temps après que le français eut enlevé sa main de son épaule. Ce dernier déclara alors vouloir remettre les pendules à l'heure de ce Deadalion. Kalalli fut plus prompt qu'Amy à réagir, mais celle-ci se releva cependant rapidement posant à son tour sa main sur l'épaule de Vincent.
"Il ne mérite même pas que tu lui porte attention. C'est ce qu'il cherche. Attirer à lui la haine pour ensuite se faire plaindre et agir en martyr. Il y a sans doute en lui une part de jalousie, de ne pouvoir ainsi se mêler aux autres. Il y a des gens comme lui partout dans le monde. Et rien ne les fera changer, si ce n'est grandir."
Elle marqua un petit temps de silence, puis ajouta, taquine:
"Dites donc, les garçons... Vous avez besoin d'apprendre un peu le self-controle!"
Elle redevint, cependant, plus sérieuse en repensant au repas que préparait sa coéquipière.
"Je pense que vous avez surtout besoin de manger pour vous calmer, là... Direction la cuisine, plutôt... J'ai pas envie de jouer les arbitres..."
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Mer 15 Oct 2008 - 18:55
Dans son élan de véhémence, Vincent se retrouva couper par les 2 personnes présentes qui lui préconisèrent de ne pas en venir aux poings, ils appuyèrent leur demande par un frein physique, celui de lui retenir le bras.
Je n'aime pas être aussi inutile, c'est a peine si j'ai du mal a réconforter les personnes autour de moi, la seule chose que je semble bien faire, c'est de frapper, alors autant utiliser mes seules qualités.
Cette réponse fut donné sur un ton sec, colérique, comme pour exorciser le stress engendré par l'idée du combat, ce qui se vérifia peu après car ses traits de visage reprirent une élasticité normale, proche du sourire.
Il ne pouvait pas agir sans soutien, de peur d'aggraver sa situation, et malgré tout, ce frein au combat montrait que Kali et Amy se souciaient et comprenaient le jeune boxeur dans sa situation d'inutilité.
Les paroles conjugués des 2 soutiens eurent raison de l'envie de violence veinale, et l'invitation au repas était des plus bienvenue.
*Hum, ma pauvre Amarenna, tu ne le sais pas et tu dois être a cent lieux de t'endouter, mais tu es déjà l'arbitre d'une saine rivalité pour gagner tes marques d'affections*
Totalement seul dans son délire de drague, ne sachant même pas si le jeune inuit avait lui aussi cet objectif, le coté jeu de cette scçene l'amusait.
C'est une bonn idée, j'ai un petit creux, mais c'est triste de manger seul, j'espère que vous avez une tripe d'ouverte vous aussi.
En attendant leur réaction, il se dirigea vers la cuisine, comme pour montrer son impatience.
Je n'aime pas être aussi inutile, c'est a peine si j'ai du mal a réconforter les personnes autour de moi, la seule chose que je semble bien faire, c'est de frapper, alors autant utiliser mes seules qualités.
Cette réponse fut donné sur un ton sec, colérique, comme pour exorciser le stress engendré par l'idée du combat, ce qui se vérifia peu après car ses traits de visage reprirent une élasticité normale, proche du sourire.
Il ne pouvait pas agir sans soutien, de peur d'aggraver sa situation, et malgré tout, ce frein au combat montrait que Kali et Amy se souciaient et comprenaient le jeune boxeur dans sa situation d'inutilité.
Les paroles conjugués des 2 soutiens eurent raison de l'envie de violence veinale, et l'invitation au repas était des plus bienvenue.
*Hum, ma pauvre Amarenna, tu ne le sais pas et tu dois être a cent lieux de t'endouter, mais tu es déjà l'arbitre d'une saine rivalité pour gagner tes marques d'affections*
Totalement seul dans son délire de drague, ne sachant même pas si le jeune inuit avait lui aussi cet objectif, le coté jeu de cette scçene l'amusait.
C'est une bonn idée, j'ai un petit creux, mais c'est triste de manger seul, j'espère que vous avez une tripe d'ouverte vous aussi.
En attendant leur réaction, il se dirigea vers la cuisine, comme pour montrer son impatience.
- Kalalli RenandOnyX
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Re: Histoire de faire la loque...
Mer 15 Oct 2008 - 23:08
Heureusement, Vincent capitula assez rapidement. Ils avaient évité une catastrophe ! Il était évident qu'envoyer un chien de garde auprès de Daedalion n'arrangerait personne, et ils auraient en plus finis tous les deux punis à cause de Kala ! Amarenna leur parla de façon taquine de leur self-contrôle.
" Je me contrôle d'abord ! C'est pas moi qui veut défigurer un autre élève ! Si j'essayais, je finirai K.O au premier round... "
Il soupira. Il n'avait jamais été très fort en lutte ou tout autre forme de combat. Trop léger et trop frêle, c'était tout juste s'il savait donner un coup de poing. Lorsque la jeune fille proposa d'aller manger, l'Inuit fit une moue récalcitrante.
" Je suis pas très sûr d'avoir faim à midi... Je vais peut être vous laisser y aller ensembles... "
" Je me contrôle d'abord ! C'est pas moi qui veut défigurer un autre élève ! Si j'essayais, je finirai K.O au premier round... "
Il soupira. Il n'avait jamais été très fort en lutte ou tout autre forme de combat. Trop léger et trop frêle, c'était tout juste s'il savait donner un coup de poing. Lorsque la jeune fille proposa d'aller manger, l'Inuit fit une moue récalcitrante.
" Je suis pas très sûr d'avoir faim à midi... Je vais peut être vous laisser y aller ensembles... "
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Jeu 16 Oct 2008 - 1:10
Vincent accepta néanmoins d'entendre raison. Même si, visiblement, c'était dur. Il semblait un peu triste, déçu de se sentir aussi inutile. Pourtant, Amy n'aurait pas dit qu'il était inutile. Certes, elle ne le connaissait que peu. Mais il ne lui faisait pas l'effet d'être inutile. Peut-être manquait-il quelque peu de diplomatie, mais tout le monde n'est pas un diplomate né. Faire dans la dentelle n'était pas donné à tout le monde. Même Amarenna, parfois, pouvait être sacrément rentre-dedans, et elle le savait parfaitement.
"Tu n'es pas inutile. Ne t'inquiète pas. Et je ne pense pas que tout ce que tu saches faire, ce soit résoudre tes soucis avec tes poings."
Amy ne s'était, visiblement, pas formalisée du ton sec du français et pour cause, elle le savait non dirigé contre elle, mais contre lui-même, contre l'injustice de la situation. Elle n'enleva pas sa main de l'épaule du jeune homme, attendant qu'il soit totalement calmé pour cela. Sans doute de peur qu'il ne change d'avis. Ce n'est que lorsqu'il accepta pour le repas qu'elle défit le contact avec un simple sourire. Elle se tourna alors vers Kalalli qui répondait à sa petite pique.
"Tu sais, Kala. La force physique n'est pas tout... La ruse compte pour beaucoup aussi... Regarde, moi par exemple... Je ne pèse pas bien lourd. Je ne suis pas bien épaisse. Pourtant, en faisant du Kung Fu, je me suis parfois débarassée d'adversaires plus coriace que Vincent."
Elle se tourna vers celui-ci et ajouta:
"Bon... C'était en cours, bien sûr, donc purement amical..."
Mais elle reporta rapidement son regard sur l'enfant qui refusait d'aller manger et secoua la tête, l'agrippant par le col doucement.
"C'est hors de question que tu sautes un repas, jeune homme... Tu vas venir avec nous. Sinon, tu ne pourras jamais mettre K.O. personne..."
"Tu n'es pas inutile. Ne t'inquiète pas. Et je ne pense pas que tout ce que tu saches faire, ce soit résoudre tes soucis avec tes poings."
Amy ne s'était, visiblement, pas formalisée du ton sec du français et pour cause, elle le savait non dirigé contre elle, mais contre lui-même, contre l'injustice de la situation. Elle n'enleva pas sa main de l'épaule du jeune homme, attendant qu'il soit totalement calmé pour cela. Sans doute de peur qu'il ne change d'avis. Ce n'est que lorsqu'il accepta pour le repas qu'elle défit le contact avec un simple sourire. Elle se tourna alors vers Kalalli qui répondait à sa petite pique.
"Tu sais, Kala. La force physique n'est pas tout... La ruse compte pour beaucoup aussi... Regarde, moi par exemple... Je ne pèse pas bien lourd. Je ne suis pas bien épaisse. Pourtant, en faisant du Kung Fu, je me suis parfois débarassée d'adversaires plus coriace que Vincent."
Elle se tourna vers celui-ci et ajouta:
"Bon... C'était en cours, bien sûr, donc purement amical..."
Mais elle reporta rapidement son regard sur l'enfant qui refusait d'aller manger et secoua la tête, l'agrippant par le col doucement.
"C'est hors de question que tu sautes un repas, jeune homme... Tu vas venir avec nous. Sinon, tu ne pourras jamais mettre K.O. personne..."
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Ven 17 Oct 2008 - 2:02
D'humeur bien plus joyeuse après avoir évacué ses frustrations, Vincent voulait continuer a developper ses relations amicales qui lui paraissaient prometteuses. Mais Kalali refusa cette invitation, surement encore troublé par les dires des médisants.
Cela aurait certes pu laisser l'opportunité a Vincent de passer un moment avec Amy seul a seul si tenté qu'il n'y ai personne d'autre en cuisine, mais cela gacherait complètement l'aspect compétitif de la drague, or c'était inenvisageable, la rivalité, c'etait le credo du boxeur. De plus, une nouvelle amitié naissance n'avait pas de prix, et pouvait d'ailleurs être très bénéfique pour le frêle garçon au niveau physique.
Viens manger avec nous sinon c'est sur toi que je frappe, ha ha.
Décidément toujous aussi rustre et peu diplomate, le jeune homme tenta par cette approche de faire comprendre a Kala qu'il était désiré pour passer ce moment.
Et puis même si tu manges pas, tu prendra une assiette que je mangerai pour toi, ça me fera une excuse pour avoir une double ration.
Cela aurait certes pu laisser l'opportunité a Vincent de passer un moment avec Amy seul a seul si tenté qu'il n'y ai personne d'autre en cuisine, mais cela gacherait complètement l'aspect compétitif de la drague, or c'était inenvisageable, la rivalité, c'etait le credo du boxeur. De plus, une nouvelle amitié naissance n'avait pas de prix, et pouvait d'ailleurs être très bénéfique pour le frêle garçon au niveau physique.
Viens manger avec nous sinon c'est sur toi que je frappe, ha ha.
Décidément toujous aussi rustre et peu diplomate, le jeune homme tenta par cette approche de faire comprendre a Kala qu'il était désiré pour passer ce moment.
Et puis même si tu manges pas, tu prendra une assiette que je mangerai pour toi, ça me fera une excuse pour avoir une double ration.
- Kalalli RenandOnyX
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Re: Histoire de faire la loque...
Ven 17 Oct 2008 - 2:29
Kalalli était cerné ! Aïe ! Que faire ? Fuir vers le canapé et se cacher derrière, fuir vers la fenêtre ou mettre K.O tous ses adversaires d'un claquement de doigt ?
Finalement, il capitula. Tenu par le col par Amarenna, menacé par Vincent, il n'y avait pas d'échappatoire !
" C'est bon, vous avez gagné ! " déclara-t-il en ricanant. " Je me rends ! Ne me torturez pas ! Ca me va pour le deal Vincent. Tu finiras mon assiette !"
Il sourit à ses amis et se dirigea vers la cuisine.
Cuisine
Finalement, il capitula. Tenu par le col par Amarenna, menacé par Vincent, il n'y avait pas d'échappatoire !
" C'est bon, vous avez gagné ! " déclara-t-il en ricanant. " Je me rends ! Ne me torturez pas ! Ca me va pour le deal Vincent. Tu finiras mon assiette !"
Il sourit à ses amis et se dirigea vers la cuisine.
Cuisine
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Ven 17 Oct 2008 - 11:17
"Et à mon avis, tu auras même droit à une triple ration... J'ai un appétit de moineau..." ajouta Amy avec un sourire mutin.
Kalalli avait accepté d'y aller aussi, Amy le lâcha donc, gardant d'abord une main sur son épaule. Vincent avait, certes, été un peu rustre dans sa façon de parler à l'enfant, pourtant, la blague avait été clairement perceptible. Heureusement, d'ailleurs, sinon la jeune femme n'aurait pas hésité un seul instant. Elle profita, d'ailleurs, du chemin vers la cuisine pour se tourner vers Vincent:
"Dis... Je cherche un ou une partenaire pour faire un peu de sport, le matin... Jogging, étirements, etc... Ca t'intéresserait?"
Après tout, qui mieux qu'un sportif pourrait accompagner une sportive dans ce genre d'exercice? Un instant, elle regretta qu'il n'ait pas fait partie de son groupe d'escalade. Si elle avait aimé, malgré tout, faire équipe avec Kitty, elle aurait sans doute pris plus de plaisir avec quelqu'un de son âge et de sportif. Mais on ne pouvait pas revenir sur le passé. Tant pis...
[ cuisine]
Kalalli avait accepté d'y aller aussi, Amy le lâcha donc, gardant d'abord une main sur son épaule. Vincent avait, certes, été un peu rustre dans sa façon de parler à l'enfant, pourtant, la blague avait été clairement perceptible. Heureusement, d'ailleurs, sinon la jeune femme n'aurait pas hésité un seul instant. Elle profita, d'ailleurs, du chemin vers la cuisine pour se tourner vers Vincent:
"Dis... Je cherche un ou une partenaire pour faire un peu de sport, le matin... Jogging, étirements, etc... Ca t'intéresserait?"
Après tout, qui mieux qu'un sportif pourrait accompagner une sportive dans ce genre d'exercice? Un instant, elle regretta qu'il n'ait pas fait partie de son groupe d'escalade. Si elle avait aimé, malgré tout, faire équipe avec Kitty, elle aurait sans doute pris plus de plaisir avec quelqu'un de son âge et de sportif. Mais on ne pouvait pas revenir sur le passé. Tant pis...
[ cuisine]
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Ven 17 Oct 2008 - 18:32
L'immobilisme total peut intervenir lors d'une crise cardiaque ou d'une grande surprise, or ce sont ces 2 facteurs cumulés qui provoquèrent chez Vincent cette paralysie temporaire.
Il venait de se faire inviter a des séries de rendez vous, certes sportifs, mais rendez vous quand même.
*Exactement ce qu'il me fallait, un moment de sport ou je pourrais a loisir faire étalage de mes compétences sportives, rien de mieux pour charmer une demoiselle, ha ha ha, ce plan est parfait*
Ah ! Cela ne me pose aucun problème, je serais ravi de t'accompagner pour des séances de mises en forme. Je pourrais également t'aider a mieux te défendre si tu en ressens le besoin.
Par contre, je ne suis pas sur de pouvoir prendre 3 parts de repas, et il te faut manger pour être en forme pour courrir.
La réponse fut donné avec une impression de calme olympien, mais la fréquence cardiaque du jeune homme rivalisait de rapidité avec les coups des meilleurs batteurs de groupes de rock.
Très dignement, il accepta l'invitation.
Son honnêteté et son envie d'aider les tierses personnes y étaient pour quelque chose, mais son coté garçon fou lui donnait parfois des pensées a l'encontre de l'image qu'il voulait donner.
Il se dirigea donc vers la cuisine, regardant Kali avec un petit air de victoire, qui ne fut absolument pas comprit par le jeune inuit,étranger de cette compétition fictive.
[ Cuisine]
Il venait de se faire inviter a des séries de rendez vous, certes sportifs, mais rendez vous quand même.
*Exactement ce qu'il me fallait, un moment de sport ou je pourrais a loisir faire étalage de mes compétences sportives, rien de mieux pour charmer une demoiselle, ha ha ha, ce plan est parfait*
Ah ! Cela ne me pose aucun problème, je serais ravi de t'accompagner pour des séances de mises en forme. Je pourrais également t'aider a mieux te défendre si tu en ressens le besoin.
Par contre, je ne suis pas sur de pouvoir prendre 3 parts de repas, et il te faut manger pour être en forme pour courrir.
La réponse fut donné avec une impression de calme olympien, mais la fréquence cardiaque du jeune homme rivalisait de rapidité avec les coups des meilleurs batteurs de groupes de rock.
Très dignement, il accepta l'invitation.
Son honnêteté et son envie d'aider les tierses personnes y étaient pour quelque chose, mais son coté garçon fou lui donnait parfois des pensées a l'encontre de l'image qu'il voulait donner.
Il se dirigea donc vers la cuisine, regardant Kali avec un petit air de victoire, qui ne fut absolument pas comprit par le jeune inuit,étranger de cette compétition fictive.
[ Cuisine]
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Mar 21 Oct 2008 - 22:54
Piscine
Déambulant depuis déjà plusieures minutes dans les couloirs de l'institut, mains dans les poches, Chris laissait promener son regard, bien que complètement vide, un peu partout. Il était complètement paumé pour tout avouer. Fuir ainsi devant ce jeune homme... Quelle humiliation. Cet abruti devait bien se fendre la poire après cela. Quoique. Non, il devait être bien trop ancré dans son larmoiement ainsi que son égoïsme latent. Le plus étrange, c'était que Chris ne ressentait pas la moindre animosité ni rancune envers lui... Ni rien du tout par ailleurs, il n'en avait tout simplement rien à foutre. Comme la plupart des gens ici en fait. Mais la peur qu'il avait ressentie. Avait-il réellement fait le deuil de sa mère ? Il se posait maintenant la question. La mort de cette dernière l'avait laissé particulièrement craintif et méfiant quant au monde qui l'entourait. Puis plus il grandissait, plus ces sentiments se mûaient en indifférence. Jusqu'à ce qu'il rencontre cet ange aux yeux bleus... Soupirant doucement, Chris fut de même quelque peu surpris de constater que le souvenir de Julia ne réveillait plus la moindre parcelle d'émotion en lui. Ni regret, ni nostalgie... Plus rien. Ou peut-être avait-il finalement compris que l'amour n'était en fin de compte qu'une belle connerie. S'arrêtant soudain, il leva légèrement les bras, baissant son regard plein d'un néant exaspérant sur ses mains. Qui était-il vraiment au fond ? C'était malheureux mais il en venait même à ne pas le savoir lui-même.
Laissant mollement retomber ses bras, le jeune homme releva lentement la tête, en proie à une intense réfléxion. Pouvait-il continuer ainsi ? Se noyer dans cet océan de confusion ? L'image de la psychologue aveugle commençait à danser devant ses yeux à mesure qu'un léger rictus venait étirer ses lèvres. A dire vrai, il brûlait d'envie d'aller la voir histoire de la tourmenter un petit peu. Elle n'avait pas encore assez souffert selon lui et il fallait qu'il y remédie. Le seul être, hormis l'empathe, à éveiller autant de rancune et de haine chez le jeune homme... Et autant dire que ça n'était pas sa cécité qui allait le freîner. Seulement ça n'était pas pour maintenant, Chris n'était pas particulièrement pressé en fait. D'ailleurs tout venait toujours à point nommé non ? Et à y repenser, il était assez curieux de voir si l'un des cerbères de la jeune femme allait se manifester de nouveau si jamais il venait une nouvelle fois à perdre le contrôle... Peut-être avait-elle oublié, mais pas lui en tous les cas... Son léger rictus s'envolant, le jeune homme finit par allonger à nouveau le pas, se dirigeant vers l'une des pièces au hasard, ne sâchant vraiment où se rendre. Tous les lieux ici se ressemblaient, bourrés de monde, de blablatage inutile. Certes, les ignorer était chose aisée, mais c'était sentir la présence d'autrui qui le gênait pour dire franchement. Dire que la seule personne avec laquelle il se sentait bien, apaisé, se trouvait à des milliers de kilomètres de lui.
Avisant la porte laissée entrouverte du salon, le jeune homme se posta finalement devant celle-ci, à l'affût du moindre bruit. Apparemment, il semblait n'y avoir personne vu qu'il ne percevait aucun son... Poussant avec hésitation cette dernière, Chris ne put réprimer un léger soupir de soulagement lorsqu'il vit qu'effectivement, la pièce était déserte. Peut-être s'étaient-ils tous rendus au rendez-vous clamé par l'islandaise bûcheronne au final. D'ailleurs lui-même s'y serait certainement rendu si son estomac le lui avait demandé. Mais la fringale l'avait depuis un bon moment abandonné de toute évidence. Pénétrant lentement à l'intérieur, Chris balaya rapidement la pièce du regard, s'attardant sur le canapé. Il pourrait peut-être s'y allonger... Chasser ainsi toute cette lassitude qui avait eu raison de lui après son entretien d'avec l'autre jeune homme dont, malheureusement, le visage plus que défait trottait encore dans sa tête. Pourquoi avait-il autant de mal à suivre son coeur ? Non, il y avait toujours cette étrange retenue qui l'empêchait de s'ouvrir. Et il fallait dire que Charles n'avait fait qu'empirer les choses... Devant tel chaos de sentiments, Chris finit par se mettre à rire nerveusement, se laissant choir sur le canapé. Fou, il devenait tout simplement fou ! D'ailleurs il se demandait parfois comment il avait pu tenir jusqu'à maintenant vu tout ce qui lui était tombé sur la pomme dernièrement...
Déambulant depuis déjà plusieures minutes dans les couloirs de l'institut, mains dans les poches, Chris laissait promener son regard, bien que complètement vide, un peu partout. Il était complètement paumé pour tout avouer. Fuir ainsi devant ce jeune homme... Quelle humiliation. Cet abruti devait bien se fendre la poire après cela. Quoique. Non, il devait être bien trop ancré dans son larmoiement ainsi que son égoïsme latent. Le plus étrange, c'était que Chris ne ressentait pas la moindre animosité ni rancune envers lui... Ni rien du tout par ailleurs, il n'en avait tout simplement rien à foutre. Comme la plupart des gens ici en fait. Mais la peur qu'il avait ressentie. Avait-il réellement fait le deuil de sa mère ? Il se posait maintenant la question. La mort de cette dernière l'avait laissé particulièrement craintif et méfiant quant au monde qui l'entourait. Puis plus il grandissait, plus ces sentiments se mûaient en indifférence. Jusqu'à ce qu'il rencontre cet ange aux yeux bleus... Soupirant doucement, Chris fut de même quelque peu surpris de constater que le souvenir de Julia ne réveillait plus la moindre parcelle d'émotion en lui. Ni regret, ni nostalgie... Plus rien. Ou peut-être avait-il finalement compris que l'amour n'était en fin de compte qu'une belle connerie. S'arrêtant soudain, il leva légèrement les bras, baissant son regard plein d'un néant exaspérant sur ses mains. Qui était-il vraiment au fond ? C'était malheureux mais il en venait même à ne pas le savoir lui-même.
Laissant mollement retomber ses bras, le jeune homme releva lentement la tête, en proie à une intense réfléxion. Pouvait-il continuer ainsi ? Se noyer dans cet océan de confusion ? L'image de la psychologue aveugle commençait à danser devant ses yeux à mesure qu'un léger rictus venait étirer ses lèvres. A dire vrai, il brûlait d'envie d'aller la voir histoire de la tourmenter un petit peu. Elle n'avait pas encore assez souffert selon lui et il fallait qu'il y remédie. Le seul être, hormis l'empathe, à éveiller autant de rancune et de haine chez le jeune homme... Et autant dire que ça n'était pas sa cécité qui allait le freîner. Seulement ça n'était pas pour maintenant, Chris n'était pas particulièrement pressé en fait. D'ailleurs tout venait toujours à point nommé non ? Et à y repenser, il était assez curieux de voir si l'un des cerbères de la jeune femme allait se manifester de nouveau si jamais il venait une nouvelle fois à perdre le contrôle... Peut-être avait-elle oublié, mais pas lui en tous les cas... Son léger rictus s'envolant, le jeune homme finit par allonger à nouveau le pas, se dirigeant vers l'une des pièces au hasard, ne sâchant vraiment où se rendre. Tous les lieux ici se ressemblaient, bourrés de monde, de blablatage inutile. Certes, les ignorer était chose aisée, mais c'était sentir la présence d'autrui qui le gênait pour dire franchement. Dire que la seule personne avec laquelle il se sentait bien, apaisé, se trouvait à des milliers de kilomètres de lui.
Avisant la porte laissée entrouverte du salon, le jeune homme se posta finalement devant celle-ci, à l'affût du moindre bruit. Apparemment, il semblait n'y avoir personne vu qu'il ne percevait aucun son... Poussant avec hésitation cette dernière, Chris ne put réprimer un léger soupir de soulagement lorsqu'il vit qu'effectivement, la pièce était déserte. Peut-être s'étaient-ils tous rendus au rendez-vous clamé par l'islandaise bûcheronne au final. D'ailleurs lui-même s'y serait certainement rendu si son estomac le lui avait demandé. Mais la fringale l'avait depuis un bon moment abandonné de toute évidence. Pénétrant lentement à l'intérieur, Chris balaya rapidement la pièce du regard, s'attardant sur le canapé. Il pourrait peut-être s'y allonger... Chasser ainsi toute cette lassitude qui avait eu raison de lui après son entretien d'avec l'autre jeune homme dont, malheureusement, le visage plus que défait trottait encore dans sa tête. Pourquoi avait-il autant de mal à suivre son coeur ? Non, il y avait toujours cette étrange retenue qui l'empêchait de s'ouvrir. Et il fallait dire que Charles n'avait fait qu'empirer les choses... Devant tel chaos de sentiments, Chris finit par se mettre à rire nerveusement, se laissant choir sur le canapé. Fou, il devenait tout simplement fou ! D'ailleurs il se demandait parfois comment il avait pu tenir jusqu'à maintenant vu tout ce qui lui était tombé sur la pomme dernièrement...
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Re: Histoire de faire la loque...
Jeu 23 Oct 2008 - 1:06
Chambre
L'indienne entra dans la salle en retenant à peine ses cris de joie. Elle avait été intégré dans une équipe! Une vraie! Elle avait espéré trouver sa compagne de chambre pour partager avec elle la nouvelle, même si cette dernière devait déjà être au courant. De plus, elle avait a parler avec elle à propos de différentes choses concernant les quelques bizzarreries des derniers jours. Tant pis, elle trouverait bien un moment pour lui en parler!
Elle posa son regard sur la pièce circulaire. Il n'y avait que Cris, qui ne semblait guère enclin à la conversation. Elle en profita pour s'installer confortablement dans un des fauteuils après avoir préalablement pris un magasine qui trainait. C'était un magazine de filles qui racontait les aventures des lectrices. La première avait surpris sa meilleure amie au bras de son petit copain, et une autre avait découverte qu'elle était enceinte. Rien de bien extraordinaire, en considérant qu'elle vivait 24 heures sur 24 avec des jeunes qui, comme elle, avait découvert une habilité extraordinaire suite à leur mutation.
Elle reposa donc le magasine, en enviant quelques peu leur chance de vivre des choses tout ce qu'il y avait de normal. N'empêche que l'institut vivait , elle aussi, son lot de normalité. Ken et Rachel qui s'aimait à la folie, les disputes , les chicanes, les ruptures...
Et puis, bon, elle n'était pas de ceux qui avait le plus souffert de leur mutation, bien au contraire... Depuis l'incident qui lui avait fait découvrir ses pouvoirs, jamais il n'y avait eu d'autres manifestations... Elle n'était même pas sur d'être vraiment à sa place à l'Institut. D'un côté, elle avait peur d'aller dans une institut normale, dans le cas où sa mutation se manifesterait dans un moment inoportun. D'un autre côté, comme il ne se manifestait pas du tout, elle n'était pas plus sur d'être vraiment à sa place à L'institut Xavier...
En proie maintenant à des idées plus noirs, elle fixait le mur d'en face pour trouver la meilleures des solutions...
L'indienne entra dans la salle en retenant à peine ses cris de joie. Elle avait été intégré dans une équipe! Une vraie! Elle avait espéré trouver sa compagne de chambre pour partager avec elle la nouvelle, même si cette dernière devait déjà être au courant. De plus, elle avait a parler avec elle à propos de différentes choses concernant les quelques bizzarreries des derniers jours. Tant pis, elle trouverait bien un moment pour lui en parler!
Elle posa son regard sur la pièce circulaire. Il n'y avait que Cris, qui ne semblait guère enclin à la conversation. Elle en profita pour s'installer confortablement dans un des fauteuils après avoir préalablement pris un magasine qui trainait. C'était un magazine de filles qui racontait les aventures des lectrices. La première avait surpris sa meilleure amie au bras de son petit copain, et une autre avait découverte qu'elle était enceinte. Rien de bien extraordinaire, en considérant qu'elle vivait 24 heures sur 24 avec des jeunes qui, comme elle, avait découvert une habilité extraordinaire suite à leur mutation.
Elle reposa donc le magasine, en enviant quelques peu leur chance de vivre des choses tout ce qu'il y avait de normal. N'empêche que l'institut vivait , elle aussi, son lot de normalité. Ken et Rachel qui s'aimait à la folie, les disputes , les chicanes, les ruptures...
Et puis, bon, elle n'était pas de ceux qui avait le plus souffert de leur mutation, bien au contraire... Depuis l'incident qui lui avait fait découvrir ses pouvoirs, jamais il n'y avait eu d'autres manifestations... Elle n'était même pas sur d'être vraiment à sa place à l'Institut. D'un côté, elle avait peur d'aller dans une institut normale, dans le cas où sa mutation se manifesterait dans un moment inoportun. D'un autre côté, comme il ne se manifestait pas du tout, elle n'était pas plus sur d'être vraiment à sa place à L'institut Xavier...
En proie maintenant à des idées plus noirs, elle fixait le mur d'en face pour trouver la meilleures des solutions...
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Re: Histoire de faire la loque...
Jeu 23 Oct 2008 - 20:18
Le visage sombre, le jeune homme posa lentement son regard sur la télévision encore allumée, projetant l'un de ces fameux dessins animés qui lui avaient cruellement manqué durant son enfance. D'ailleurs, Chris en était venu à détester ces programmes qu'il jugeait plus débiles les uns que les autres. Mais il semblait que les gens ici carburaient à cela. Mouais, pourquoi pas si ça les amusait... Depuis quand n'avait-il regardé la télévision ? Depuis sa rencontre d'avec Julia s'il se souvenait bien. Mof, en même temps, il avait eu bien mieux comme loisirs avec cette dernière, même si tous ces moments de bonheur le laissaient plutôt de marbre à présent. Se levant lentement, Chris se dirigea finalement vers le poste de télévision dans le but de l'éteindre. Ceci fait, il retourna s'asseoir sur le canapé et leva les bras, croisant ses mains derrière la tête. Son regard se perdit sur le plafond à mesure que plusieures interrogations se bousculaient dans son esprit où le bordel régnait déjà en maître. Etait-ce réellement la meilleure solution que de rester dans cette école ? Après tout, il devait bien exister d'autres endroits où il pourrait apprendre à développer son pouvoir. Seulement il y avait un problème, Chris doutait qu'il puisse croiser Charles ailleurs que dans cet institut... Et c'était tout ce que le jeune homme espérait en restant parmi toutes ces personnes indignes de confiance, pouvoir cette fois coinçer ce fumier...
Levant l'une de ses mains vers le plafond, le jeune homme ferma doucement les yeux, s'impregnant du silence qui inondait maintenant la pièce. Rares moments que celui-ci appréciait... La mine de plus en plus concentrée, Chris chercha tout au fond de lui cette lueur qui, independamment de sa volonté, ne semblait plus vouloir se manifester depuis la disparition des quatre abrutis. Pourquoi ? Il ne se l'expliquait toujours pas. Simplement, il ne pouvait rester ainsi, il devait travailler ce pouvoir, même s'il préférait faire comme s'il n'existait pas. Un autre assaut tel que celui d'il y a deux mois et il n'y résisterait sûrement pas. Certes, l'institut était bondé cette fois, mais le jeune homme doutait bien trop de l'efficacité des autres à pouvoir faire front... De plus, un pouvoir tel que le leur le terrifiait énormément il fallait l'avouer. Crispant légèrement les mâchoires, Chris finit par lâcher un petit râle d'exaspération face à l'echec. Il n'y arrivait toujours pas ! Dire qu'il avait pensé que le cours de l'autre psychologue allait lui montrer la voie. Ben non, cela avait au contraire ravivé cette douleur qui lui martelait sans cesse le coeur à l'évocation de 'meurtriers'. Il allait lui falloir aller voir ce professeur Volkov, peut-être pourrait-il lui être d'un quelconque secours à l'instar des autres.
Laissant brusquement retomber sa main alors que son coeur manquait un battement, c'est d'un oeil quelque peu hagard que le jeune homme observa la nouvelle arrivante. Avait-il été si distrait pour ne pas l'entendre arriver ? Etrange, cela lui arrivait souvent ces derniers temps de se retrouver ainsi surpris... Fixant attentivement le visage de cette dernière quelques secondes, le jeune homme laissa son regard errer sur elle tandis qu'elle s'asseyait. Demoiselle plutôt charmante au demeurant. D'ailleurs il en avait rarement vu ici qui vaillent réellement la peine d'être observées de plus près en y repensant. A part l'une qui lui avait laissé une forte impression... M'enfin, l'on ne pouvait pas dire non plus qu'il cherchait la compagnie féminine non plus. Tout ce qui l'intéressait en fait, c'était de mettre fin à cette rancoeur qui lui rongeait le coeur. Certes, le sexe lui manquait terriblement, mais pas au point d'en venir à sauter sur la première donzelle venue ! Il savait contrôler ses pulsions quand même. De plus, il n'était pas ce genre de type. Il lui fallait un minimum apprécier physiquement et psychologiquement la personne pour ne serait-ce que l'envisager... Les pintades, pas du tout son truc. Se rendant brusquement compte que la jeune fille venait de reposer son magasine et qu'il la fixait toujours avec attention, Chris finit par lâcher un petit soupir empli de lassitude.
Cette dernière semblait elle aussi pleine de pensées confuses à la voir fixer ce pauvre mur ainsi.
"Vous allez finir par le faire fondre à le fixer de cette manière... Ca ne va pas ?"
Simple question de politesse bien qu'au fond, Chris n'en ait rien à carrer de l'état d'esprit de la jeune fille. Fronçant les sourcils, le coeur étrangement serré, le jeune homme fut soudainement traversé par l'image de River. La conversation qu'ils avaient eu avant que tout ne parte à la dérive... A elle aussi il était venu lui demander si ça allait. Et elle était morte peu de temps après. Se mordant la lèvre, Chris commençait déjà à regretter sa question somme toute banale. Peut-être était-ce pour cela qu'il ne voulait se rapprocher des autres, la peur de leur porter la poisse. Déjà qu'il en était imprégné lui-même. Il ne savait pas vraiment mais cela méritait à réfléxion...
Levant l'une de ses mains vers le plafond, le jeune homme ferma doucement les yeux, s'impregnant du silence qui inondait maintenant la pièce. Rares moments que celui-ci appréciait... La mine de plus en plus concentrée, Chris chercha tout au fond de lui cette lueur qui, independamment de sa volonté, ne semblait plus vouloir se manifester depuis la disparition des quatre abrutis. Pourquoi ? Il ne se l'expliquait toujours pas. Simplement, il ne pouvait rester ainsi, il devait travailler ce pouvoir, même s'il préférait faire comme s'il n'existait pas. Un autre assaut tel que celui d'il y a deux mois et il n'y résisterait sûrement pas. Certes, l'institut était bondé cette fois, mais le jeune homme doutait bien trop de l'efficacité des autres à pouvoir faire front... De plus, un pouvoir tel que le leur le terrifiait énormément il fallait l'avouer. Crispant légèrement les mâchoires, Chris finit par lâcher un petit râle d'exaspération face à l'echec. Il n'y arrivait toujours pas ! Dire qu'il avait pensé que le cours de l'autre psychologue allait lui montrer la voie. Ben non, cela avait au contraire ravivé cette douleur qui lui martelait sans cesse le coeur à l'évocation de 'meurtriers'. Il allait lui falloir aller voir ce professeur Volkov, peut-être pourrait-il lui être d'un quelconque secours à l'instar des autres.
Laissant brusquement retomber sa main alors que son coeur manquait un battement, c'est d'un oeil quelque peu hagard que le jeune homme observa la nouvelle arrivante. Avait-il été si distrait pour ne pas l'entendre arriver ? Etrange, cela lui arrivait souvent ces derniers temps de se retrouver ainsi surpris... Fixant attentivement le visage de cette dernière quelques secondes, le jeune homme laissa son regard errer sur elle tandis qu'elle s'asseyait. Demoiselle plutôt charmante au demeurant. D'ailleurs il en avait rarement vu ici qui vaillent réellement la peine d'être observées de plus près en y repensant. A part l'une qui lui avait laissé une forte impression... M'enfin, l'on ne pouvait pas dire non plus qu'il cherchait la compagnie féminine non plus. Tout ce qui l'intéressait en fait, c'était de mettre fin à cette rancoeur qui lui rongeait le coeur. Certes, le sexe lui manquait terriblement, mais pas au point d'en venir à sauter sur la première donzelle venue ! Il savait contrôler ses pulsions quand même. De plus, il n'était pas ce genre de type. Il lui fallait un minimum apprécier physiquement et psychologiquement la personne pour ne serait-ce que l'envisager... Les pintades, pas du tout son truc. Se rendant brusquement compte que la jeune fille venait de reposer son magasine et qu'il la fixait toujours avec attention, Chris finit par lâcher un petit soupir empli de lassitude.
Cette dernière semblait elle aussi pleine de pensées confuses à la voir fixer ce pauvre mur ainsi.
"Vous allez finir par le faire fondre à le fixer de cette manière... Ca ne va pas ?"
Simple question de politesse bien qu'au fond, Chris n'en ait rien à carrer de l'état d'esprit de la jeune fille. Fronçant les sourcils, le coeur étrangement serré, le jeune homme fut soudainement traversé par l'image de River. La conversation qu'ils avaient eu avant que tout ne parte à la dérive... A elle aussi il était venu lui demander si ça allait. Et elle était morte peu de temps après. Se mordant la lèvre, Chris commençait déjà à regretter sa question somme toute banale. Peut-être était-ce pour cela qu'il ne voulait se rapprocher des autres, la peur de leur porter la poisse. Déjà qu'il en était imprégné lui-même. Il ne savait pas vraiment mais cela méritait à réfléxion...
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Re: Histoire de faire la loque...
Jeu 23 Oct 2008 - 21:31
Elle posa son regard sur l'électrokynésiste. Elle était bien sur au courant des évènements des 2 derniers mois, il n'y avais pas grand chose qui restait secret dans l'institut. Certains prétendaient qu'il l'avait fait délibérément, mais d'autres croyaient en son innoncence. Elle n'avait pas connu River , étant arrivé la veille de l'attaque. Elle n'avait pas non plus d'opinion sur le jeune homme, excepté qu'il était bien trop polie, et que de vouvoyer les gens comme ça lui donnait un air snob.
-Si seulement je le pouvais! finit-elle par répondre en soupirant.
Puis elle leva la tête vers la télévision que le jeune homme venait d'éteindre, sans répondre à sa questions. De toute façon, ce n'était pas son genre de s'appitoyer sur son sort, et surtout en companie d'un presqu'inconnu. De plus, il avait l'air aussi morose qu'elle, alors, ce n'était pas la peine d'en rajouter une couche! Finalement, poser la question semblait lui avoir causé un malaise presque palpable dans la petite pièce. La seule chose qu'il restait à faire, c'était de lui faire un sourire, et se replongé dans une occupation qui la distrairait. Malheureusement, la télévision était maintenant éteinte, et elle ne voulait pas gêner son compagnon ni provoquer une guerre en la rallumant, et les nombreux livres ne la tentait guère en ce moment. Ne restait plus que Chris , qui serait la victime de son ennui
- Et puis, les cours, ça c'est bien passé? La prof n'a pas l'air commode! Disons que je n'aimerais pas m'y frotter!
Elle avait dit cela sur le ton de la conversation. Elle était maintenant d'humeur joyeuse, ayant oublier les questions qui la tiraillait quelques instants plutôt. Elle surveillait aussi souvent la porte, au cas Rachel passerait .
-Si seulement je le pouvais! finit-elle par répondre en soupirant.
Puis elle leva la tête vers la télévision que le jeune homme venait d'éteindre, sans répondre à sa questions. De toute façon, ce n'était pas son genre de s'appitoyer sur son sort, et surtout en companie d'un presqu'inconnu. De plus, il avait l'air aussi morose qu'elle, alors, ce n'était pas la peine d'en rajouter une couche! Finalement, poser la question semblait lui avoir causé un malaise presque palpable dans la petite pièce. La seule chose qu'il restait à faire, c'était de lui faire un sourire, et se replongé dans une occupation qui la distrairait. Malheureusement, la télévision était maintenant éteinte, et elle ne voulait pas gêner son compagnon ni provoquer une guerre en la rallumant, et les nombreux livres ne la tentait guère en ce moment. Ne restait plus que Chris , qui serait la victime de son ennui
- Et puis, les cours, ça c'est bien passé? La prof n'a pas l'air commode! Disons que je n'aimerais pas m'y frotter!
Elle avait dit cela sur le ton de la conversation. Elle était maintenant d'humeur joyeuse, ayant oublier les questions qui la tiraillait quelques instants plutôt. Elle surveillait aussi souvent la porte, au cas Rachel passerait .
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Ven 24 Oct 2008 - 9:01
Devant la réponse de la jeune fille, Chris arqua légèrement le sourcil. Ainsi il ne s'était pas trompé, elle était vraiment d'humeur maussade. Manifestement, ça semblait être le lot de plusieurs ici. Tout bonnement désespérant... Tandis que la demoiselle reportait son attention sur autre chose, lui laissait son regard vagabonder sur son visage. Celle-ci n'avait pas répondu à sa question constata-t-il, simplement il ne s'en offusqua point, n'en ayant cure. Bien qu'il se doutait qu'il n'était pas toujours agréable d'être fixée ainsi pour une autre personne, il la scrutait toujours attentivement, curieux de savoir si cette dernière y réagirait ou non. Une manière comme une autre de jauger son vis à vis en somme. Restant un long moment à détailler le moindre de ses traits, son regard finit par descendre lentement, effleurant délicatement son cou, sa poitrine, ses hanches, ses jambes... Certes, elle possédait une silhouette irréprochable, cependant, celle-ci ne suscitait la moindre attirance chez lui. Etrange, une jeune fille aussi charmante... Détournant finalement son regard vers la porte, Chris se laissa aller à un long soupir à fendre l'âme. Peut-être était-il tout simplement trop difficile. Et puis pourquoi se mettait-il à nourrir de telles pensées ? Ridicule. Il devait se concentrer sur ses objectifs et non pas ces futilités qui ne le mèneraient nulle part.
Remarquant finalement ses oeillades récurrentes vers la porte d'entrée, le jeune homme reporta son attention sur la jeune fille, la mine maintenant complètement blasée. Elle semblait attendre quelqu'un... Oui, il n'y avait pas grand chose qui puisse lui échapper en fait. L'écoutant distraitement alors qu'elle prenait la parole, le jeune homme plongea simplement son regard inexpressif dans le sien, ne laissant rien paraître de ses interrogations. Comment savait-elle qu'il s'était rendu au cours de la psychologue ? Décidément, l'on ne pouvait rien faire sans que tout le monde ne soit au courant dans cet endroit. Tout de même inquiétant bien qu'il s'en moqua au final. Tant que personne ne venait fourrer le nez dans ses affaires...
"C'est une jeune femme très intéressante en fait..."
C'est le regard et la voix quelque peu lointains que le jeune homme s'était exprimé, caressant maintenant lentement sa lèvre inférieure de son pouce. Oui, Esther était une personne qui l'intriguait plus que de raison. Mais il s'agissait seulement de la femme qu'elle était et non de la psy. L'air songeur, Chris, oubliant quelque peu la présence de la demoiselle, reprit la parole comme pour lui-même, la voix étrangement rauque cette fois-ci.
"Dommage que je ne puisse en dire autant de la psychologue..."
Il aurait bien aimé savoir ce que ressentait réellement celle-ci au vu de ce lourd passé qu'elle se trimballait depuis toutes ces années... Semblant de nouveau remarquer la présence de son interlocutrice qui se retrouvait maintenant plus enjouée, Chris surprit le sourire dont elle le gratifia sans pour autant le lui rendre. En fait, il se demandait plutôt ce qui avait pu lui faire retrouver si rapidement sa bonne humeur. S'agirait-il d'une personne lunatique à souhait ? Mais bon, bref, peu importait en fin de compte. Rejetant doucement la tête en arrière, il ne put réprimer un léger baillement teinté de fatigue et d'ennui. Parler cours avait plutôt tendance à l'ennuyer... Où peut-être était-ce simplement cette dernière qui l'ennuyait ? Fort possible. A bien y réfléchir, il n'avait jamais vraiment eu de réelles conversations avec quiconque si ce n'était Jenny. Jeune femme qu'il souhaiterait bien revoir bien qu'il n'osait faire le premier pas. Il redoutait qu'elle ne soit au courant pour lui. D'ailleurs il ne se sentait tout bonnement plus en droit de l'importuner. Il n'avait pas oublié son épaule blessée à cause de sa stupidité ainsi que de tout le reste...
Remarquant finalement ses oeillades récurrentes vers la porte d'entrée, le jeune homme reporta son attention sur la jeune fille, la mine maintenant complètement blasée. Elle semblait attendre quelqu'un... Oui, il n'y avait pas grand chose qui puisse lui échapper en fait. L'écoutant distraitement alors qu'elle prenait la parole, le jeune homme plongea simplement son regard inexpressif dans le sien, ne laissant rien paraître de ses interrogations. Comment savait-elle qu'il s'était rendu au cours de la psychologue ? Décidément, l'on ne pouvait rien faire sans que tout le monde ne soit au courant dans cet endroit. Tout de même inquiétant bien qu'il s'en moqua au final. Tant que personne ne venait fourrer le nez dans ses affaires...
"C'est une jeune femme très intéressante en fait..."
C'est le regard et la voix quelque peu lointains que le jeune homme s'était exprimé, caressant maintenant lentement sa lèvre inférieure de son pouce. Oui, Esther était une personne qui l'intriguait plus que de raison. Mais il s'agissait seulement de la femme qu'elle était et non de la psy. L'air songeur, Chris, oubliant quelque peu la présence de la demoiselle, reprit la parole comme pour lui-même, la voix étrangement rauque cette fois-ci.
"Dommage que je ne puisse en dire autant de la psychologue..."
Il aurait bien aimé savoir ce que ressentait réellement celle-ci au vu de ce lourd passé qu'elle se trimballait depuis toutes ces années... Semblant de nouveau remarquer la présence de son interlocutrice qui se retrouvait maintenant plus enjouée, Chris surprit le sourire dont elle le gratifia sans pour autant le lui rendre. En fait, il se demandait plutôt ce qui avait pu lui faire retrouver si rapidement sa bonne humeur. S'agirait-il d'une personne lunatique à souhait ? Mais bon, bref, peu importait en fin de compte. Rejetant doucement la tête en arrière, il ne put réprimer un léger baillement teinté de fatigue et d'ennui. Parler cours avait plutôt tendance à l'ennuyer... Où peut-être était-ce simplement cette dernière qui l'ennuyait ? Fort possible. A bien y réfléchir, il n'avait jamais vraiment eu de réelles conversations avec quiconque si ce n'était Jenny. Jeune femme qu'il souhaiterait bien revoir bien qu'il n'osait faire le premier pas. Il redoutait qu'elle ne soit au courant pour lui. D'ailleurs il ne se sentait tout bonnement plus en droit de l'importuner. Il n'avait pas oublié son épaule blessée à cause de sa stupidité ainsi que de tout le reste...
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Re: Histoire de faire la loque...
Ven 24 Oct 2008 - 23:07
Chambre de Chris et Jareld
Jareld arriva, livre en main dans le salon où se trouvait, Chris son colocataire et Yamina, son ex-coéquipière durant la mission en France. Il semblait tout les deux être en pleine discussion. Les deux élèves paraissaient tout les deux, maussades.
Le jeune homme avait entendu en arrivant le "Dommage que je ne puisse pas en dire autant de la psychologue." de Chris.
Jareld leur sourit et leur adressa un "salut" avant de s'asseoir sur l'un des fauteuils. Il ouvrit son livre, comme l'idiot qu'il était, au lieu de leur demander comment ils allaient, alors qu'ils les connaissait tous les deux... Il se maudit intérieurement, sans rien en faire paraître extérieurement:
* Allez idiot si tu veux te faire des amis, essai d'être un peu sociable... Arrête de penser à tes sorties astrales!*
Il n'allait pas leur demander "ca va?" une fois assis alors qu'il venait de commencer à lire... Non il passerait pour un idiot...
En France il n'aurait jamais eut ce genre de problème, il était naturel mais ici à l'Institut sa personnalité changeait il devenait un adolescent réservé.
Cette situation l'agaçait au plus haut point. Et le problème de l'adolescent réservé à cet instant se résumait à: comment engagez la conversation sans passer pour un idiot auprès de deux personnes qui n'avaient pas l'air enclin à converser?
Jareld détestait être le "chieur" que personne ne voulait entendre pour le moment. Il ne l'était pas, mais s'il engageait mal la conversation il risquait de paraître comme tel.
Pourquoi se compliquait-il la vie?
L'audace et l'agacement de se sentir si stupide prirent le dessus.
Il leva sa tête de son livre de grec ancien et demanda conjointement à Yamina et Chris:
"Vous parliez de Mlle Deneos ou d'Esther, quand je suis arrivé?"
Se fichant totalement, d'être passé pour un idiot ou pas, Jareld prit un air calme et serein, qui ne laissait rien paraître du trouble qui l'animait.
Jareld s'intéressait à leur conversation car Cassandre était la leader de son équipe, personnellement il l'appréciait, bien qu'il ne la connaisse pas plus que ça. Elle lui avait parut comme une femme forte et protectrice envers l'Institut et ses élèves. Il semblait qu'elle était un peu la mère d'adoption de tous les élèves qui pouvait aller se confier à elle. De plus, étant psychologue elle les comprenait et les aidait mieux que personne...
Alors Jareld espérait en apprendre plus sur la conversation car il avait du mal à concevoir qu'on ne puisse pas apprécier Mlle Deneos. Mais il était ouvert, et n'était pas du genre à démonter les personnes qui n'avait pas les mêmes opinions que lui...
Quand à Esther Jareld ne la connaissait pas, il apprécierait donc de savoir comment les élèves la considèrent. Il ne l'avait vu qu'à la réunion et certaines fois dans les couloirs, mais c'était à peu près tout...
Jareld observa Chris et Yamina en attente d'une réponse de l'un ou l'autre.
Jareld arriva, livre en main dans le salon où se trouvait, Chris son colocataire et Yamina, son ex-coéquipière durant la mission en France. Il semblait tout les deux être en pleine discussion. Les deux élèves paraissaient tout les deux, maussades.
Le jeune homme avait entendu en arrivant le "Dommage que je ne puisse pas en dire autant de la psychologue." de Chris.
Jareld leur sourit et leur adressa un "salut" avant de s'asseoir sur l'un des fauteuils. Il ouvrit son livre, comme l'idiot qu'il était, au lieu de leur demander comment ils allaient, alors qu'ils les connaissait tous les deux... Il se maudit intérieurement, sans rien en faire paraître extérieurement:
* Allez idiot si tu veux te faire des amis, essai d'être un peu sociable... Arrête de penser à tes sorties astrales!*
Il n'allait pas leur demander "ca va?" une fois assis alors qu'il venait de commencer à lire... Non il passerait pour un idiot...
En France il n'aurait jamais eut ce genre de problème, il était naturel mais ici à l'Institut sa personnalité changeait il devenait un adolescent réservé.
Cette situation l'agaçait au plus haut point. Et le problème de l'adolescent réservé à cet instant se résumait à: comment engagez la conversation sans passer pour un idiot auprès de deux personnes qui n'avaient pas l'air enclin à converser?
Jareld détestait être le "chieur" que personne ne voulait entendre pour le moment. Il ne l'était pas, mais s'il engageait mal la conversation il risquait de paraître comme tel.
Pourquoi se compliquait-il la vie?
L'audace et l'agacement de se sentir si stupide prirent le dessus.
Il leva sa tête de son livre de grec ancien et demanda conjointement à Yamina et Chris:
"Vous parliez de Mlle Deneos ou d'Esther, quand je suis arrivé?"
Se fichant totalement, d'être passé pour un idiot ou pas, Jareld prit un air calme et serein, qui ne laissait rien paraître du trouble qui l'animait.
Jareld s'intéressait à leur conversation car Cassandre était la leader de son équipe, personnellement il l'appréciait, bien qu'il ne la connaisse pas plus que ça. Elle lui avait parut comme une femme forte et protectrice envers l'Institut et ses élèves. Il semblait qu'elle était un peu la mère d'adoption de tous les élèves qui pouvait aller se confier à elle. De plus, étant psychologue elle les comprenait et les aidait mieux que personne...
Alors Jareld espérait en apprendre plus sur la conversation car il avait du mal à concevoir qu'on ne puisse pas apprécier Mlle Deneos. Mais il était ouvert, et n'était pas du genre à démonter les personnes qui n'avait pas les mêmes opinions que lui...
Quand à Esther Jareld ne la connaissait pas, il apprécierait donc de savoir comment les élèves la considèrent. Il ne l'avait vu qu'à la réunion et certaines fois dans les couloirs, mais c'était à peu près tout...
Jareld observa Chris et Yamina en attente d'une réponse de l'un ou l'autre.
- InvitéInvité
Re: Histoire de faire la loque...
Dim 26 Oct 2008 - 9:39
Le matin même, elle avait été prise avec celle que tous surnommait la dragonne. D'ailleurs, elle n'avait toujours pas saisi la provenance de ce drôle de surnom. Si elle avait craché du feu, ou bien si elle possèderait de petits ailes ou même encore si elle avait une peau écailleuse et verte, elle aurait compris, mais ce n'était pas le cas. Il faudrait qu'elle demande à Rachel, ou encore à Anna la provenance de ce nom. Elle n'avait pas eu encore le cours avec l'ethnopsycologue, mais la manière de traiter l'infâme cravate lui faisait froid dans le dos.
Elle était interessante? Sans doute on ne s'ennuyait pas avec la femme, mais elle ne put comprendre l'allusion à Cassandre. Bien qu'elle ne la connaissait que de réputation, elle était certaine qu'elle avait des tonnes d'histoires à raconter! Non, elle n'était surement pas ininterressante.
- Je n'en suis pas si sure, excepté si tu trouves que Cassandre est ennuyeuse!
La dernière phrase avait été poser à Chris. Par contre, elle ne voyait pas très bien qui serait l'autre psychologue dont il était question. Elle avait eu la tête ailleurs durant la réunion. C'était peut-être à ce moment qu'il en avait parlé. Résolution numéro un, mieux écouté au réunion... Elle reporta son regard sur Jareld. Son livre ne devait pas être interessant, ou peut-être que lui aussi était il morose!
- Qu'est-ce que tu lis?
Puis, avant qu'il ne puisse lui répondre, et comme il était à côté d'elle, elle se saisit du livre.
- Les livres de langues... pourquoi est-ce que tu lis ça? Ça doit être d'un ennui! Et une langue ancienne en plus! Par contre, je dois reconnaître que si les voyage temporel deviennent la nouvelle mode ici, tu pourrais en avoir besoin!
Elle était interessante? Sans doute on ne s'ennuyait pas avec la femme, mais elle ne put comprendre l'allusion à Cassandre. Bien qu'elle ne la connaissait que de réputation, elle était certaine qu'elle avait des tonnes d'histoires à raconter! Non, elle n'était surement pas ininterressante.
- Je n'en suis pas si sure, excepté si tu trouves que Cassandre est ennuyeuse!
La dernière phrase avait été poser à Chris. Par contre, elle ne voyait pas très bien qui serait l'autre psychologue dont il était question. Elle avait eu la tête ailleurs durant la réunion. C'était peut-être à ce moment qu'il en avait parlé. Résolution numéro un, mieux écouté au réunion... Elle reporta son regard sur Jareld. Son livre ne devait pas être interessant, ou peut-être que lui aussi était il morose!
- Qu'est-ce que tu lis?
Puis, avant qu'il ne puisse lui répondre, et comme il était à côté d'elle, elle se saisit du livre.
- Les livres de langues... pourquoi est-ce que tu lis ça? Ça doit être d'un ennui! Et une langue ancienne en plus! Par contre, je dois reconnaître que si les voyage temporel deviennent la nouvelle mode ici, tu pourrais en avoir besoin!
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